Le mois de Marie
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Le mois de Marie
La promotion du mois de Marie (le mois de mai) doit beaucoup aux Jésuites. Il s'agit de méditer les vertus et les privilèges de la Sainte Vierge et de s'en inspirer pour sanctifier la vie quotidienne en pratiquant chaque jour une vertu.
Le mois de Marie atteint la France à la veille de la Révolution.
Les Jésuites recommandaient qu'à la veille du 1° mai on dressât un Autel à Marie, orné de fleurs et de lumières, devant quoi chaque jour on réciterait une prière en l'honneur de la Sainte-Vierge.
Il était aussi inconvenant de se marier au mois de mai religieusement.
Je vous propose de partager ici, journellement une prière à la Sainte Vierge (et pardon d'être en retard )
Le mois de Marie atteint la France à la veille de la Révolution.
Les Jésuites recommandaient qu'à la veille du 1° mai on dressât un Autel à Marie, orné de fleurs et de lumières, devant quoi chaque jour on réciterait une prière en l'honneur de la Sainte-Vierge.
Il était aussi inconvenant de se marier au mois de mai religieusement.
Je vous propose de partager ici, journellement une prière à la Sainte Vierge (et pardon d'être en retard )
Dernière édition par Annapurna le Jeu 19 Mai 2011 - 7:17, édité 2 fois
Invité- Invité
Donne la paix à notre terre - Jean-Paul II
O Mère de miséricorde,
nous confions à ton coeur et à ton amour
le peuple entier et l'Eglise de cette terre.
Garde-nous de toute injustice,
de toute division,
de toute violence et de toute guerre.
Garde-nous de la tentation
et de l'esclavage du péché et du mal.
Sois avec nous !
Aide-nous à vaincre le doute par la foi,
l'égoïsme par le service,
l'orgueil par la mansuétude,
la haine par l'amour.
Aide-nous à vivre l'Evangile
et la folie de la Croix
afin de pouvoir ressusciter avec ton Fils
à la vraie vie, avec le Père,
dans l'unité de l'Esprit Saint.
O Mère du Christ,
sois notre réconfort
et donne force à tous ceux qui souffrent :
aux pauvres,
à ceux qui sont seuls,
aux malades,
aux non-aimés, aux abandonnés.
Donne la paix à notre terre divisée ;
et à tous, la lumière de l'espérance.
nous confions à ton coeur et à ton amour
le peuple entier et l'Eglise de cette terre.
Garde-nous de toute injustice,
de toute division,
de toute violence et de toute guerre.
Garde-nous de la tentation
et de l'esclavage du péché et du mal.
Sois avec nous !
Aide-nous à vaincre le doute par la foi,
l'égoïsme par le service,
l'orgueil par la mansuétude,
la haine par l'amour.
Aide-nous à vivre l'Evangile
et la folie de la Croix
afin de pouvoir ressusciter avec ton Fils
à la vraie vie, avec le Père,
dans l'unité de l'Esprit Saint.
O Mère du Christ,
sois notre réconfort
et donne force à tous ceux qui souffrent :
aux pauvres,
à ceux qui sont seuls,
aux malades,
aux non-aimés, aux abandonnés.
Donne la paix à notre terre divisée ;
et à tous, la lumière de l'espérance.
Dernière édition par Annapurna le Mar 10 Mai 2011 - 18:14, édité 1 fois
Invité- Invité
Belle prière
Et bonne idée.
Fleur2lys- Messages : 1176
Date d'inscription : 03/02/2011
Age : 62
Localisation : entre Lyon et Grenoble
Magnificat
Mon âme exalte le Seigneur,
Exulte mon esprit en Dieu, mon Sauveur !
Il s’est penché sur son humble servante ;
désormais tous les âges me diront bienheureuse.
Le Puissant fit pour moi des merveilles :
Saint est son nom !
Son amour s’étend d’âge en âge
sur ceux qui le craignent.
Déployant la force de son bras,
il disperse les superbes.
Il renverse les puissants de leurs trônes,
il élève les humbles.
Il comble de biens les affamés,
renvoie les riches les mains vides.
Il relève Israël, son serviteur ;
il se souvient de son amour,
De la promesse faite à nos pères,
en faveur d’Abraham et de sa race, à jamais.
Gloire au Père, et au Fils,
et au Saint-Esprit,
Maintenant et à jamais,
dans les siècles des siècles. Amen.
Image : http://delartenbranches.blogspot.com/2010_05_01_archive.html
Exulte mon esprit en Dieu, mon Sauveur !
Il s’est penché sur son humble servante ;
désormais tous les âges me diront bienheureuse.
Le Puissant fit pour moi des merveilles :
Saint est son nom !
Son amour s’étend d’âge en âge
sur ceux qui le craignent.
Déployant la force de son bras,
il disperse les superbes.
Il renverse les puissants de leurs trônes,
il élève les humbles.
Il comble de biens les affamés,
renvoie les riches les mains vides.
Il relève Israël, son serviteur ;
il se souvient de son amour,
De la promesse faite à nos pères,
en faveur d’Abraham et de sa race, à jamais.
Gloire au Père, et au Fils,
et au Saint-Esprit,
Maintenant et à jamais,
dans les siècles des siècles. Amen.
Image : http://delartenbranches.blogspot.com/2010_05_01_archive.html
Invité- Invité
Prière à Notre Dame de la Médaille Miraculeuse
PRIÈRE
Ô Marie, conçue sans péché,
Sur vous est venu le Saint-Esprit
Et vous nous avez donné votre Fils.
Ô Marie, confidente de sainte Catherine,
Apprenez-nous à nous asseoir au pied du Seigneur
Pour écouter sa Parole et la garder dans notre cœur.
Ô Marie, debout au pied de la Croix,
Conduisez-nous au pied de l’autel
Pour devenir une offrande agréable au Père.
Ô Marie, Mère de l’Église,
Vous portez le monde et l’offrez à Dieu
Priez pour nous qui avons recours à vous.
Ô Marie, comblée de grâces,
Répandez vos rayons de lumière
Sur chacun d’entre nous qui vous les demandons.
Ô Marie, icône de l’humilité,
Donnez-nous de porter la sainte Médaille
Signe de notre amour pour les Cœurs de Jésus et Marie.
Ô Marie, Servante du Seigneur,
Aidez-nous à vivre de charité comme sainte Catherine
Qui ne cesse d’intercéder en notre faveur.
AMEN.
Après cette prière dire 3 fois l’invocation donnée par Marie à Catherine Labouré :
« Ô Marie conçue sans péché, priez pour nous qui avons recours à vous »
Ô Marie, conçue sans péché,
Sur vous est venu le Saint-Esprit
Et vous nous avez donné votre Fils.
Ô Marie, confidente de sainte Catherine,
Apprenez-nous à nous asseoir au pied du Seigneur
Pour écouter sa Parole et la garder dans notre cœur.
Ô Marie, debout au pied de la Croix,
Conduisez-nous au pied de l’autel
Pour devenir une offrande agréable au Père.
Ô Marie, Mère de l’Église,
Vous portez le monde et l’offrez à Dieu
Priez pour nous qui avons recours à vous.
Ô Marie, comblée de grâces,
Répandez vos rayons de lumière
Sur chacun d’entre nous qui vous les demandons.
Ô Marie, icône de l’humilité,
Donnez-nous de porter la sainte Médaille
Signe de notre amour pour les Cœurs de Jésus et Marie.
Ô Marie, Servante du Seigneur,
Aidez-nous à vivre de charité comme sainte Catherine
Qui ne cesse d’intercéder en notre faveur.
AMEN.
Après cette prière dire 3 fois l’invocation donnée par Marie à Catherine Labouré :
« Ô Marie conçue sans péché, priez pour nous qui avons recours à vous »
Invité- Invité
Re: Le mois de Marie
Une très belle idée, qui m'émeut beaucoup,
Merci Cat pour ces magnifiques prières et tes belles illustrations
Merci Cat pour ces magnifiques prières et tes belles illustrations
Invité- Invité
A la Vierge de Mai
Splendeur des Lys de mai, vous êtes notre Reine,
l'aurore de nos yeux, la paix de notre soir
et nous plaçons en vous tous nos ciels "bleu d'espoir",
nos rires et nos coeurs et toute notre peine.
Nous cueillerons pour Vous, Aimable Souveraine,
des fleurs et des Ave tout au long du chemin
et si l'ombre du soir obscurcit le matin,
trouez d'or et d'azur le mur de notre peine.
Blancheur des Lys de mai, Vierge belle et sereine
prenez-nous par la main lorsque viendra le soir,
prenez-nous par la main le long de notre peine.
Amen
(Guy Ganachaud)
l'aurore de nos yeux, la paix de notre soir
et nous plaçons en vous tous nos ciels "bleu d'espoir",
nos rires et nos coeurs et toute notre peine.
Nous cueillerons pour Vous, Aimable Souveraine,
des fleurs et des Ave tout au long du chemin
et si l'ombre du soir obscurcit le matin,
trouez d'or et d'azur le mur de notre peine.
Blancheur des Lys de mai, Vierge belle et sereine
prenez-nous par la main lorsque viendra le soir,
prenez-nous par la main le long de notre peine.
Amen
(Guy Ganachaud)
Invité- Invité
Faites de nous des Apôtres
O Vierge Immaculée, élue entre toutes les femmes
pour donner au monde le Sauveur, servante fidèle du Mystère de la Rédemption,
donne-nous de répondre à l'appel de Jésus et de le suivre sur le chemin de la vie qui conduit au Père.
Vierge toute sainte, arrachez-nous du péché, transformez nos coeurs.
Reine des Apôtres, faites de nous des Apôtres !
Qu'en vos mains toutes pures nous devenions des instruments dociles et aimants pour achever de purifier et de sanctifier notre monde pécheur.
Partagez en nous le grave souci qui pèse sur votre coeur maternel, et aussi votre vive espérance : qu'aucun homme ne soit perdu !
Que la création entière puisse avec vous, O Mère de Dieu, tendresse infinie de l'Esprit Saint, célébrer la louange de la Miséricorde et de l'Amour infini.
pour donner au monde le Sauveur, servante fidèle du Mystère de la Rédemption,
donne-nous de répondre à l'appel de Jésus et de le suivre sur le chemin de la vie qui conduit au Père.
Vierge toute sainte, arrachez-nous du péché, transformez nos coeurs.
Reine des Apôtres, faites de nous des Apôtres !
Qu'en vos mains toutes pures nous devenions des instruments dociles et aimants pour achever de purifier et de sanctifier notre monde pécheur.
Partagez en nous le grave souci qui pèse sur votre coeur maternel, et aussi votre vive espérance : qu'aucun homme ne soit perdu !
Que la création entière puisse avec vous, O Mère de Dieu, tendresse infinie de l'Esprit Saint, célébrer la louange de la Miséricorde et de l'Amour infini.
Invité- Invité
Marie au coeur de nos vies - Auteur : Albéric de Palmaert
O Marie, au coeur du monde,
au commencement des temps,
à l'aube de nos vies.
Marie dans la nuit de Bethléem,
qui donne la terre à Dieu.
Marie, tendresse et fidélité,
tenant la Vie dans nos mains humaines.
Marie, douce et fragile,
la force et la lumière,
pauvre et humble,
la gloire et la richesse.
Marie, au pied de la croix,
mère et fille, seule,
transpercée et radieuse,
humaine dans ta souffrance,
divine dans ton visage.
Marie, Mère de notre Sauveur,
salvatrice toi-même pour notre monde en déroute.
Marie, fille et Mère de notre humanité,
au pied de notre croix.
Marie, notre force et notre lumière,
notre gloire et notre richesse.
Marie, au matin de Pâques
discrète et presqu'absente.
Marie des jours d'allégresse,
heureuse et oubliée.
Marie, notre joie, notre sourire,
main tendue au pécheur,
secours des affligés,
Marie - pardon.
Marie, au soir de Pentecôte,
rempart des apôtres, notre soutien
dans la tourmente de nos incertitudes.
Marie,notre espérance,
qui donne chaque jour au monde
notre divinité.
Amen.
au commencement des temps,
à l'aube de nos vies.
Marie dans la nuit de Bethléem,
qui donne la terre à Dieu.
Marie, tendresse et fidélité,
tenant la Vie dans nos mains humaines.
Marie, douce et fragile,
la force et la lumière,
pauvre et humble,
la gloire et la richesse.
Marie, au pied de la croix,
mère et fille, seule,
transpercée et radieuse,
humaine dans ta souffrance,
divine dans ton visage.
Marie, Mère de notre Sauveur,
salvatrice toi-même pour notre monde en déroute.
Marie, fille et Mère de notre humanité,
au pied de notre croix.
Marie, notre force et notre lumière,
notre gloire et notre richesse.
Marie, au matin de Pâques
discrète et presqu'absente.
Marie des jours d'allégresse,
heureuse et oubliée.
Marie, notre joie, notre sourire,
main tendue au pécheur,
secours des affligés,
Marie - pardon.
Marie, au soir de Pentecôte,
rempart des apôtres, notre soutien
dans la tourmente de nos incertitudes.
Marie,notre espérance,
qui donne chaque jour au monde
notre divinité.
Amen.
Dernière édition par Annapurna le Ven 20 Mai 2011 - 22:45, édité 1 fois
Invité- Invité
Acte de consécration au Saint Nom de Marie
En présence de Dieu tout-puissant, Père et Fils et Saint-Esprit, je vous reconnais O Très Sainte Vierge Marie, comme étant ma Mère céleste et ma Souveraine.
Par la profonde et émouvante opération que produit dans votre Coeur très pur, la parole du Verbe tout-puissant, votre Fils Jésus, qui, sur le point de mourir, vous fit mère de tous les hommes, je vous supplie, malgré ma misère et mes péchés, de daigner me reconnaître pour votre enfant et de me recevoir avec bonté pour votre serviteur ici sur terre et plus tard au ciel.
J'offre à la Bienheureuse Trinité les plus ardentes actions de grâce pour tous les dons qu'elle vous a octroyés, et je demande à Dieu de convertir tous les hommes afin que vous soyez glorifiée dans l'univers.
Dès cet instant, Très Sainte Mère, je vous consacre mon coeur, mon âme, et tout ce qui m'est de plus cher, et m'engage de défendre votre honneur.
Soyez, s'il Vous plaît, ma Souveraine Protectrice, et protégez-moi de toutes les embûches de ce monde. Demandez pour moi, à votre Divin Fils, de m'accorder les grâces qui me sont nécessaire pour l'aimer davantage, le vénérer davantage, le suivre jusqu'à mon dernier soupire et l'imiter aussi parfaitement que possible.
Ainsi soit-il.
Prière : Très Sainte Vierge, Mère de Notre Seigneur Jésus-Christ, et Notre Mère, je viens à vos pieds implorer le secours de votre sainte protection, car... (exposez ici les motifs).
S'il Vous plaît, Très Sainte Vierge, présentez ma prière à votre Fils Jésus, en lui demandant d'exaucer mes voeux.
Ainsi soit-il.
Récitez un Pater Noster, un Ave Maria, et un Gloria
Par la profonde et émouvante opération que produit dans votre Coeur très pur, la parole du Verbe tout-puissant, votre Fils Jésus, qui, sur le point de mourir, vous fit mère de tous les hommes, je vous supplie, malgré ma misère et mes péchés, de daigner me reconnaître pour votre enfant et de me recevoir avec bonté pour votre serviteur ici sur terre et plus tard au ciel.
J'offre à la Bienheureuse Trinité les plus ardentes actions de grâce pour tous les dons qu'elle vous a octroyés, et je demande à Dieu de convertir tous les hommes afin que vous soyez glorifiée dans l'univers.
Dès cet instant, Très Sainte Mère, je vous consacre mon coeur, mon âme, et tout ce qui m'est de plus cher, et m'engage de défendre votre honneur.
Soyez, s'il Vous plaît, ma Souveraine Protectrice, et protégez-moi de toutes les embûches de ce monde. Demandez pour moi, à votre Divin Fils, de m'accorder les grâces qui me sont nécessaire pour l'aimer davantage, le vénérer davantage, le suivre jusqu'à mon dernier soupire et l'imiter aussi parfaitement que possible.
Ainsi soit-il.
Prière : Très Sainte Vierge, Mère de Notre Seigneur Jésus-Christ, et Notre Mère, je viens à vos pieds implorer le secours de votre sainte protection, car... (exposez ici les motifs).
S'il Vous plaît, Très Sainte Vierge, présentez ma prière à votre Fils Jésus, en lui demandant d'exaucer mes voeux.
Ainsi soit-il.
Récitez un Pater Noster, un Ave Maria, et un Gloria
Invité- Invité
Marie, à travers toi Dieu nous parle - Auteur : Pape Jean-Paul II
Notre Dame de la transparence,
en toi et à travers toi Dieu nous parle :
donne-nous un coeur simple,
remplis-nous d'allégresse.
O Vierge du ''Oui'' et du Magnificat,
rends nos coeurs transparents comme le tien.
Notre Dame de l'humilité,
cachée dans la foule, enveloppée dans le mystère
aide-nous à porter la Bonne Nouvelle au monde
et à nous immerger dans le mystère du Christ
pour en communiquer quelque chose à nos frères.
Notre Dame de la fidélité,
Toi qui sans cesse recherchais le visage du Seigneur,
Toi qui as accepté le mystère
et qui l'as médité dans ton coeur,
Toi qui as vécu en accord avec ce que tu croyais
Toi qui fut l'exemple même de la constance
dans l'épreuve comme dans l'exaltation,
aide-nous à tenir nos engagements
en bons et fidèles serviteurs,
jusqu'au dernier jour de notre vie sur terre.
en toi et à travers toi Dieu nous parle :
donne-nous un coeur simple,
remplis-nous d'allégresse.
O Vierge du ''Oui'' et du Magnificat,
rends nos coeurs transparents comme le tien.
Notre Dame de l'humilité,
cachée dans la foule, enveloppée dans le mystère
aide-nous à porter la Bonne Nouvelle au monde
et à nous immerger dans le mystère du Christ
pour en communiquer quelque chose à nos frères.
Notre Dame de la fidélité,
Toi qui sans cesse recherchais le visage du Seigneur,
Toi qui as accepté le mystère
et qui l'as médité dans ton coeur,
Toi qui as vécu en accord avec ce que tu croyais
Toi qui fut l'exemple même de la constance
dans l'épreuve comme dans l'exaltation,
aide-nous à tenir nos engagements
en bons et fidèles serviteurs,
jusqu'au dernier jour de notre vie sur terre.
Invité- Invité
Ave Marie Stella !
Salut, étoile de la mer
Mère nourricière de Dieu
Et toujours vierge,
Bienheureuse porte du ciel
En recevant cet ave
De la bouche de Gabriel
Et en changeant le nom d’Ève
Établis-nous dans la paix
Enlève leurs liens aux coupables
Donne la lumière aux aveugles
Chasse nos maux
Nourris-nous de tous les biens
Montre toi notre mère
Qu’il accueille par toi nos prières
Celui qui, né pour nous,
Voulut être ton fils
Vierge sans égale,
Douce entre tous,
Quand nous serons libérés de nos fautes
Rends-nous doux et chastes
Accorde-nous une vie innocente
Rends sûr notre chemin
Pour que, voyant Jésus,
Nous nous réjouissions éternellement
Louange à Dieu le Père,
Gloire au Christ Roi
Et à l’Esprit saint,
À la Trinité entière un seul hommage
Ave Maris Stella est une prière catholique dédiée à la Vierge Marie. Son titre latin signifie Salut, étoile de la mer en français.
L'origine de la prière est incertaine. Certains l'attribuent à Venance Fortunat (530-609) ou à Paul le Diacre. Elle peut au moins être datée du IXe siècle car on la trouve dans le manuscrit intitulé De fide ad Gratianum contra perfidiam Arianorum, conservé à l'abbaye de Saint-Gall (Ms 95, f° 2). Souvent, on attribue à tort cette prière au roi de France Robert II le Pieux ou à Saint Bernard, qui vécurent au XIe et au XIIe siècle.
Cette hymne continue à être chantée dans l'Office divin et dans le petit office de la Sainte Vierge, ainsi qu'aux vêpres et dans le bréviaire romain lors des fêtes de la Vierge Marie. Ce poème de sept quatrains n'est pas rimé mais il est accentué. Le chant demande en outre à Marie de montrer qu'elle est notre mère, de donner la lumière aux aveugles, de chasser nos maux, de nous établir dans la paix, de nous accorder une vie innocente, de nous rendre doux et chastes et d'accueillir nos prières. Il commence par une salutation et se termine par une louange à Dieu et à la Trinité.
L'origine de l'appellation, « Étoile de la Mer », attribué à la Vierge Marie, viendrait de la Bible (1 Rois 18:41-45). Saint Jérôme, Isidore de Séville, Alcuin, Paschase Radbert et Raban Maur auraient par la suite encouragé l'usage de ce titre provenant de l'incipit littéraire du poème.
Mère nourricière de Dieu
Et toujours vierge,
Bienheureuse porte du ciel
En recevant cet ave
De la bouche de Gabriel
Et en changeant le nom d’Ève
Établis-nous dans la paix
Enlève leurs liens aux coupables
Donne la lumière aux aveugles
Chasse nos maux
Nourris-nous de tous les biens
Montre toi notre mère
Qu’il accueille par toi nos prières
Celui qui, né pour nous,
Voulut être ton fils
Vierge sans égale,
Douce entre tous,
Quand nous serons libérés de nos fautes
Rends-nous doux et chastes
Accorde-nous une vie innocente
Rends sûr notre chemin
Pour que, voyant Jésus,
Nous nous réjouissions éternellement
Louange à Dieu le Père,
Gloire au Christ Roi
Et à l’Esprit saint,
À la Trinité entière un seul hommage
Ave Maris Stella est une prière catholique dédiée à la Vierge Marie. Son titre latin signifie Salut, étoile de la mer en français.
L'origine de la prière est incertaine. Certains l'attribuent à Venance Fortunat (530-609) ou à Paul le Diacre. Elle peut au moins être datée du IXe siècle car on la trouve dans le manuscrit intitulé De fide ad Gratianum contra perfidiam Arianorum, conservé à l'abbaye de Saint-Gall (Ms 95, f° 2). Souvent, on attribue à tort cette prière au roi de France Robert II le Pieux ou à Saint Bernard, qui vécurent au XIe et au XIIe siècle.
Cette hymne continue à être chantée dans l'Office divin et dans le petit office de la Sainte Vierge, ainsi qu'aux vêpres et dans le bréviaire romain lors des fêtes de la Vierge Marie. Ce poème de sept quatrains n'est pas rimé mais il est accentué. Le chant demande en outre à Marie de montrer qu'elle est notre mère, de donner la lumière aux aveugles, de chasser nos maux, de nous établir dans la paix, de nous accorder une vie innocente, de nous rendre doux et chastes et d'accueillir nos prières. Il commence par une salutation et se termine par une louange à Dieu et à la Trinité.
L'origine de l'appellation, « Étoile de la Mer », attribué à la Vierge Marie, viendrait de la Bible (1 Rois 18:41-45). Saint Jérôme, Isidore de Séville, Alcuin, Paschase Radbert et Raban Maur auraient par la suite encouragé l'usage de ce titre provenant de l'incipit littéraire du poème.
Invité- Invité
Celle qui est au-dessus de tout, par Charles Peguy
Il y a des jours dans l'existence où on sent qu'on ne peut plus se contenter des saints patrons...
Alors il faut prendre son courage à deux mains.
Et s'adresser directement à celle qui est au-dessus de tout.
Etre hardi. Une fois. S'adresser hardiment à celle qui est infiniment belle.
Parce qu'aussi elle est infiniment bonne,
A celle qui intercède.
La seule qui puisse parler avec l'autorité d'une mère.
S’adresser hardiment à celle qui est infiniment pure.
Parce qu'aussi elle est infiniment douce.
A celle qui est infiniment noble.
Parce qu'aussi elle est infiniment courtoise. Infiniment accueillante.
Accueillante comme le prêtre qui au seuil de l'église va au-devant du nouveau-né jusqu'au seuil,
Au jour de son baptême.
Pour l'introduire dans la maison de Dieu.
A celle qui est infiniment riche
Parce qu'aussi elle est infiniment pauvre.
A celle qui est infiniment haute
Parce qu'aussi elle est infiniment descendante.
A celle qui est infiniment grande.
Parce qu'aussi elle est infiniment petite,
Infiniment humble
Une jeune mère.
A celle qui est infiniment jeune
Parce qu'aussi elle est infiniment mère.
A celle qui est infiniment droite
Parce qu'aussi elle est infiniment penchée.
A celle qui est infiniment joyeuse
Parce qu'aussi elle est infiniment douloureuse.
Septante et sept fois septante douloureuse.
A celle qui est infiniment touchante
Parce qu'aussi elle est infiniment touchée.
A celle qui est toute Grandeur et toute Foi
Parce qu'aussi elle est toute Charité.
A celle qui est toute Foi et toute Charité
Parce qu'aussi elle est toute Espérance.
Source http://lovendrin.kazeo.com/oeuvres-de-Gauthier-Courtin/Vierge-a-l-Enfant,p772967.html
Alors il faut prendre son courage à deux mains.
Et s'adresser directement à celle qui est au-dessus de tout.
Etre hardi. Une fois. S'adresser hardiment à celle qui est infiniment belle.
Parce qu'aussi elle est infiniment bonne,
A celle qui intercède.
La seule qui puisse parler avec l'autorité d'une mère.
S’adresser hardiment à celle qui est infiniment pure.
Parce qu'aussi elle est infiniment douce.
A celle qui est infiniment noble.
Parce qu'aussi elle est infiniment courtoise. Infiniment accueillante.
Accueillante comme le prêtre qui au seuil de l'église va au-devant du nouveau-né jusqu'au seuil,
Au jour de son baptême.
Pour l'introduire dans la maison de Dieu.
A celle qui est infiniment riche
Parce qu'aussi elle est infiniment pauvre.
A celle qui est infiniment haute
Parce qu'aussi elle est infiniment descendante.
A celle qui est infiniment grande.
Parce qu'aussi elle est infiniment petite,
Infiniment humble
Une jeune mère.
A celle qui est infiniment jeune
Parce qu'aussi elle est infiniment mère.
A celle qui est infiniment droite
Parce qu'aussi elle est infiniment penchée.
A celle qui est infiniment joyeuse
Parce qu'aussi elle est infiniment douloureuse.
Septante et sept fois septante douloureuse.
A celle qui est infiniment touchante
Parce qu'aussi elle est infiniment touchée.
A celle qui est toute Grandeur et toute Foi
Parce qu'aussi elle est toute Charité.
A celle qui est toute Foi et toute Charité
Parce qu'aussi elle est toute Espérance.
Source http://lovendrin.kazeo.com/oeuvres-de-Gauthier-Courtin/Vierge-a-l-Enfant,p772967.html
Invité- Invité
O Marie ! - Saint Ephrem (v.306-373)
Remplis ma bouche, ô Marie,
de la grâce de ta douceur.
Éclaire mon intelligence,
toi qui as été comblée de la faveur de Dieu.
Alors ma langue et mes lèvres
chanteront allègrement tes louanges
et plus particulièrement
la salutation angélique,
annonciatrice du salut du monde,
remède et protection de tous les hommes.
Daigne donc accepter que moi,
ton petit serviteur,
je te loue et te dise
et redise doucement :
"Réjouis-toi, Marie, comblée de grâces."
Une représentation de la Vierge Marie au Musée de Sainte Sophie à Istanbul.
de la grâce de ta douceur.
Éclaire mon intelligence,
toi qui as été comblée de la faveur de Dieu.
Alors ma langue et mes lèvres
chanteront allègrement tes louanges
et plus particulièrement
la salutation angélique,
annonciatrice du salut du monde,
remède et protection de tous les hommes.
Daigne donc accepter que moi,
ton petit serviteur,
je te loue et te dise
et redise doucement :
"Réjouis-toi, Marie, comblée de grâces."
Une représentation de la Vierge Marie au Musée de Sainte Sophie à Istanbul.
Invité- Invité
Re: Le mois de Marie
Tous les jours une nouvelle prière, tu sais que j'attends cela avec impatience, et c'est "magique" à chaque fois
Invité- Invité
Pourquoi je t'aime, ô Marie ! de Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus
Oh ! je voudrais chanter, Marie pourquoi je t'aime, pourquoi ton nom si doux fait tressaillir mon coeur,
Et pourquoi la pensée de ta grandeur suprême ne saurait à mon âme inspirer de frayeur.
Si je te contemplais dans ta sublime gloire et surpassant l'éclat de tous les bienheureux
Que je suis ton enfant je ne pourrais le croire ; O Marie, devant toi je baisserais les yeux!...
Il faut pour qu'un enfant puisse chérir sa mère, qu'elle pleure avec lui, partage ses douleurs
O ma Mère chérie, sur la rive étrangère, pour m'attirer à toi, que tu versas de pleurs !...
En méditant ta vie dans le saint Evangile, j'ose te regarder et m'approcher de toi
Me croire ton enfant ne m'est pas difficile car je te vois mortelle et souffrant comme moi...
Lorsqu'un ange du Ciel t'offre d'être la Mère du Dieu qui doit régner toute l'éternité
Je te vois préférer, ô Marie, quel mystère ! L'ineffable trésor de la virginité.
Je comprends que ton âme, ô Vierge Immaculée soit plus chère au Seigneur que le divin séjour
Je comprends que ton âme, Humble et Douce Vallée peut contenir Jésus, L'Océan de l'Amour !...
Oh ! je t'aime, Marie, te disant la servante, du Dieu que tu ravis par ton humilité
Cette vertu cachée te rend toute-puissante. Elle attire en ton coeur la Sainte Trinité.
Alors l'Esprit d'Amour te couvrant de son ombre, alors le Fils égal au Père en toi s'est incarné...
De ses frères pécheurs bien grand sera le nombre puisqu'on doit l'appeler: Jésus, ton premier-né !...
O Mère bien-aimée, malgré ma petitesse comme toi je possède en moi Le Tout-Puissant
Mais je ne tremble pas en voyant ma faiblesse : Le trésor de la mère appartient à l'enfant
Et je suis ton enfant, ô ma Mère chérie, tes vertus, ton amour, ne sont-ils pas à moi ?
Aussi lorsqu'en mon coeur descend la blanche Hostie, Jésus, ton Doux Agneau, croit reposer en toi !...
Tu me le fais sentir, ce n'est pas impossible de marcher sur tes pas, ô Reine des élus,
L'étroit chemin du Ciel, tu l'as rendu visible en pratiquant toujours les plus humbles vertus.
Auprès de toi, Marie, j'aime à rester petite, des grandeurs d'ici-bas je vois la vanité,
Chez Sainte Elisabeth, recevant ta visite, j'apprends à pratiquer l'ardente charité.
Là j'écoute ravie, Douce Reine des anges, le cantique sacré qui jaillit de ton coeur.
Tu m'apprends à chanter les divines louanges, à me glorifier en Jésus mon Sauveur.
Tes paroles d'amour sont de mystiques roses qui doivent embaumer les siècles à venir.
En toi le Tout-Puissant a fait de grandes choses, je les veux méditer, afin de l'en bénir.
Quand le bon Saint Joseph ignore le miracle que tu voudrais cacher dans ton humilité
Tu le laisses pleurer tout près du Tabernacle qui voile du Sauveur la divine beauté !...
Oh ! que j'aime, Marie, ton éloquent silence, pour moi c'est un concert doux et mélodieux
Qui me dit la grandeur et la toute-puissance d'une âme qui n'attend son secours que des Cieux...
Plus tard à Bethléem, ô Joseph et Marie ! Je vous vois repoussés de tous les habitants
Nul ne veut recevoir en son hôtellerie de pauvres étrangers, la place est pour les grands...
La place est pour les grands et c'est dans une étable que la Reine des Cieux doit enfanter un Dieu.
O ma Mère chérie, que je te trouve aimable, que je te trouve grande en un si pauvre lieu !...
Quand je vois L'Eternel enveloppé de langes, quand du Verbe Divin j'entends le faible cri
O ma Mère chérie, je n'envie plus les anges car leur Puissant Seigneur est mon Frère chéri !...
Que je t'aime, Marie, toi qui sur nos rivages as fait épanouir cette Divine Fleur !....
Que je t'aime écoutant les bergers et les mages et gardant avec soin toute chose en ton coeur !...
Je t'aime te mêlant avec les autres femmes qui vers le temple saint ont dirigé leurs pas
Je t'aime présentant le Sauveur de nos âmes au bienheureux Vieillard qui le presse en ses bras
D'abord en souriant j'écoute son cantique mais bientôt ses accents me font verser des pleurs.
Plongeant dans l'avenir un regard prophétique Siméon te présente un glaive de douleurs.
O Reine des martyrs, jusqu'au soir de ta vie, cCe glaive douloureux transpercera ton coeur
Déjà tu dois quitter le sol de ta patrie pour éviter d'un roi la jalouse fureur.
Jésus sommeille en paix sous les plis de ton voile, Joseph vient te prier de partir à l'instant
Et ton obéissance aussitôt se dévoile, tu pars sans retard et sans raisonnement.
Sur la terre d'Egypte, il me semble, ô Marie que dans la pauvreté ton coeur reste joyeux,
Car Jésus n'est-Il pas la plus belle Patrie, que t'importe l'exil, tu possèdes les Cieux...
Mais à Jérusalem, une amère tristesse comme un vaste océan vient inonder ton coeur
Jésus, pendant trois jours, se cache à ta tendresse alors c'est bien l'exil dans toute sa rigueur !...
Enfin tu l’aperçois et la joie te transporte, tu dis au bel Enfant qui charme les docteurs :
"O mon Fils, pourquoi donc agis-tu de la sorte ? Voilà ton père et moi qui te cherchions en pleurs."
Et l'Enfant Dieu répond, oh quel profond mystère ! A la Mère chérie qui tend vers lui ses bras:
"Pourquoi me cherchiez-vous ? Aux oeuvres de mon Père, il faut que je m'emploie, ne le savez-vous pas ?"
L'Evangile m'apprend que croissant en sagesse, à Joseph, à Marie, Jésus reste soumis.
Et mon coeur me révèle avec quelle tendresse, il obéit toujours à ses parents chéris.
Maintenant je comprends le mystère du temple, les paroles cachées de mon Aimable Roi.
Mère, ton doux Enfant veut que tu sois l'exemple de l'âme qui Le cherche en la nuit de la foi.
Puisque le Roi des Cieux a voulu que sa Mère soit plongée dans la nuit, dans l'angoisse du coeur ;
Marie, c'est donc un bien de souffrir sur la terre ? Oui souffrir en aimant c'est le plus pur bonheur !
Tout ce qu'Il m'a donné Jésus peut le reprendre, dis-lui de ne jamais se gêner avec moi...
Il peut bien se cacher, je consens à l'attendre jusqu'au jour sans couchant où s'éteindra ma foi...
Je sais qu'à Nazareth, Mère pleine de grâces, tu vis très pauvrement, ne voulant rien de plus
Point de ravissements, de miracles, d'extases n'embellissent ta vie, ô Reine des Elus !
Le nombre des petits est bien grand sur la terre, ils peuvent sans trembler vers toi lever les yeux
C'est par la voie commune, incomparable Mère qu'il te plaît de marcher pour les guider aux Cieux.
En attendant le Ciel, ô ma Mère chérie, je veux vivre avec toi, te suivre chaque jour
Mère, en te contemplant, je me plonge ravie découvrant dans ton coeur des abîmes d'amour.
Ton regard maternel bannit toutes mes craintes, il m'apprend à pleurer, il m'apprend à jouir.
Au lieu de mépriser les joies pures et saintes, tu veux les partager, tu daignes les bénir.
Des époux de Cana voyant l'inquiétude qu'ils ne peuvent cacher,car ils manquent de vin
Au Sauveur tu le dis dans ta sollicitude, espérant le secours de son pouvoir divin.
Jésus semble d'abord repousser ta prière, "Qu'importe" répond-Il, "femme, à vous et à moi ?"
Mais au fond de son coeur, Il te nomme sa Mère et son premier miracle, Il l'opère pour toi...
Un jour que les pécheurs écoutent la doctrine de Celui qui voudrait au Ciel les recevoir
Je te trouve avec eux, Marie, sur la colline quelqu'un dit à Jésus que tu voudrais le voir
Alors, ton Divin Fils devant la foule entière, de son amour pour nous montre l'immensité
Il dit : "Quel est mon frère et ma soeur et ma Mère, si ce n'est celui-là qui fait ma volonté ?"
O Vierge Immaculée, des mères la plus tendre en écoutant Jésus, tu ne t'attristes pas
Mais tu te réjouis qu'Il nous fasse comprendre que notre âme devient sa famille ici-bas
Oui tu te réjouis qu'Il nous donne sa vie, Les trésors infinis de sa divinité
Comment ne pas t'aimer, ô ma Mère chérie en voyant tant d'amour et tant d'humilité?
Tu nous aimes, Marie, comme Jésus nous aime et tu consens pour nous à t'éloigner de Lui.
Aimer c'est tout donner et se donner soi-même, tu voulus le prouver en restant notre appui.
Le Sauveur connaissait ton immense tendresse, il savait les secrets de ton coeur maternel,
Refuge des pécheurs,c'est à toi qu'Il nous laisse quand Il quitte la Croix pour nous attendre au Ciel.
Marie, tu m'apparais au sommet du Calvaire, debout près de la Croix, comme un prêtre à l'autel
Offrant pour apaiser la justice du Père, Ton bien-aimé Jésus, le doux Emmanuel...
Un prophète l'a dit, ô Mère désolée, "Il n'est pas de douleur semblable à ta douleur !"
O Reine des Martyrs, en restant exilée, tu prodigues pour nous tout le sang de ton coeur !
La maison de Saint Jean devient ton seul asile, le fils de Zébédée doit remplacer Jésus...
C'est le dernier détail que donne l'Evangile de la Reine des Cieux il ne me parle plus.
Mais son profond silence, ô ma Mère chérie ne révèle-t-il pas que Le Verbe Eternel
Veut Lui-même chanter les secrets de ta vie pour charmer tes enfants, tous les Elus du Ciel ?
Bientôt je l'entendrai cette douce harmonie, bientôt dans le beau Ciel, je vais aller te voir
Toi qui vins me sourire au matin de ma vie, viens me sourire encore... Mère... voici le soir !...
Je ne crains plus l'éclat de ta gloire suprême, avec toi j'ai souffert et je veux maintenant
Chanter sur tes genoux, Marie, pourquoi je t'aime et redire à jamais que je suis ton enfant !...
« J’ai encore quelque chose à faire avant de mourir », confie Thérèse à sa sœur Céline : « J’ai toujours rêvé d’exprimer dans un chant à la Sainte Vierge tout ce que je pense d’elle » (PA, Rome, p. 268). Quelques mois avant sa mort, Thérèse compose son dernier poème « Pourquoi je t’aime Ô Marie ! » Elle y exprime tout ce qu’elle pense de la Vierge Marie. Elle nous invite à nous tourner vers la Mère de Dieu et notre Mère en méditant sa vie tel que l’Évangile nous la révèle avec discrétion et profondeur…
Thérèse de Lisieux
Docteur de l'Église
Naissance le 2 janvier 1873
Alençon, Orne, France
Décès le 30 septembre 1897 (à 24 ans)
Lisieux, Calvados, France
Nationalité France Française
Vénéré à Basilique de Lisieux
Béatification le 29 avril 1923 Rome
par Pie XI
Canonisation le 17 mai 1925 Rome
par Pie XI
Vénéré par l'Église catholique romaine
Fête 1er octobre
Attributs
Porte un habit de Carmélite, et porte dans ses mains une croix entourée de roses.
Saint patron des Missions, de la France
Thérèse Martin, en religion sœur Thérèse de l’Enfant Jésus et de la Sainte Face, plus connue sous l'appellation de sainte Thérèse de Lisieux ou de sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus ou la petite Thérèse, est une religieuse canonisée née à Alençon le 2 janvier 1873 et morte à Lisieux le 30 septembre 1897.
Fille de Louis et Zélie Martin, Thérèse perd sa mère à l'âge de quatre ans et demi. Elle est élevée par ses sœurs aînées Marie et Pauline, jusqu'à leur entrée au carmel de Lisieux. Elle aussi ressent très tôt un appel à la vie religieuse. Surmontant les obstacles, elle entre au carmel de Lisieux à 15 ans. Après neuf années de vie religieuse, dont les deux dernières passées dans une nuit de la foi, elle meurt de la tuberculose le 30 septembre 1897 à l'âge de 24 ans.
Le retentissement de ses publications posthumes, dont Histoire d'une âme publiée peu de temps après sa mort, en fait l'une des plus grandes saintes du XXe siècle. Considérée par Pie XI comme « l'étoile de son pontificat », elle est rapidement béatifiée et canonisée puis déclarée sainte patronne des missions et sainte patronne secondaire de la France avec Jeanne d'Arc. La dévotion à sainte Thérèse s'est développée partout dans le monde.
La nouveauté de sa spiritualité, appelée la théologie de la « petite voie »1, a inspiré nombre de croyants. Elle propose de rechercher la sainteté, non pas dans les grandes actions, mais dans les actes du quotidien même les plus insignifiants, à condition de les accomplir pour l'amour de Dieu. En 1997, le pape Jean-Paul II a fait d'elle le 33e docteur de l'Église, reconnaissant par-là même l'exemplarité de sa vie et de ses écrits.
Édifiée en son honneur, la basilique de Lisieux est le deuxième plus grand lieu de pèlerinage de France après Lourdes.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Sainte_Th%C3%A9r%C3%A8se_de_Lisieux
Et pourquoi la pensée de ta grandeur suprême ne saurait à mon âme inspirer de frayeur.
Si je te contemplais dans ta sublime gloire et surpassant l'éclat de tous les bienheureux
Que je suis ton enfant je ne pourrais le croire ; O Marie, devant toi je baisserais les yeux!...
Il faut pour qu'un enfant puisse chérir sa mère, qu'elle pleure avec lui, partage ses douleurs
O ma Mère chérie, sur la rive étrangère, pour m'attirer à toi, que tu versas de pleurs !...
En méditant ta vie dans le saint Evangile, j'ose te regarder et m'approcher de toi
Me croire ton enfant ne m'est pas difficile car je te vois mortelle et souffrant comme moi...
Lorsqu'un ange du Ciel t'offre d'être la Mère du Dieu qui doit régner toute l'éternité
Je te vois préférer, ô Marie, quel mystère ! L'ineffable trésor de la virginité.
Je comprends que ton âme, ô Vierge Immaculée soit plus chère au Seigneur que le divin séjour
Je comprends que ton âme, Humble et Douce Vallée peut contenir Jésus, L'Océan de l'Amour !...
Oh ! je t'aime, Marie, te disant la servante, du Dieu que tu ravis par ton humilité
Cette vertu cachée te rend toute-puissante. Elle attire en ton coeur la Sainte Trinité.
Alors l'Esprit d'Amour te couvrant de son ombre, alors le Fils égal au Père en toi s'est incarné...
De ses frères pécheurs bien grand sera le nombre puisqu'on doit l'appeler: Jésus, ton premier-né !...
O Mère bien-aimée, malgré ma petitesse comme toi je possède en moi Le Tout-Puissant
Mais je ne tremble pas en voyant ma faiblesse : Le trésor de la mère appartient à l'enfant
Et je suis ton enfant, ô ma Mère chérie, tes vertus, ton amour, ne sont-ils pas à moi ?
Aussi lorsqu'en mon coeur descend la blanche Hostie, Jésus, ton Doux Agneau, croit reposer en toi !...
Tu me le fais sentir, ce n'est pas impossible de marcher sur tes pas, ô Reine des élus,
L'étroit chemin du Ciel, tu l'as rendu visible en pratiquant toujours les plus humbles vertus.
Auprès de toi, Marie, j'aime à rester petite, des grandeurs d'ici-bas je vois la vanité,
Chez Sainte Elisabeth, recevant ta visite, j'apprends à pratiquer l'ardente charité.
Là j'écoute ravie, Douce Reine des anges, le cantique sacré qui jaillit de ton coeur.
Tu m'apprends à chanter les divines louanges, à me glorifier en Jésus mon Sauveur.
Tes paroles d'amour sont de mystiques roses qui doivent embaumer les siècles à venir.
En toi le Tout-Puissant a fait de grandes choses, je les veux méditer, afin de l'en bénir.
Quand le bon Saint Joseph ignore le miracle que tu voudrais cacher dans ton humilité
Tu le laisses pleurer tout près du Tabernacle qui voile du Sauveur la divine beauté !...
Oh ! que j'aime, Marie, ton éloquent silence, pour moi c'est un concert doux et mélodieux
Qui me dit la grandeur et la toute-puissance d'une âme qui n'attend son secours que des Cieux...
Plus tard à Bethléem, ô Joseph et Marie ! Je vous vois repoussés de tous les habitants
Nul ne veut recevoir en son hôtellerie de pauvres étrangers, la place est pour les grands...
La place est pour les grands et c'est dans une étable que la Reine des Cieux doit enfanter un Dieu.
O ma Mère chérie, que je te trouve aimable, que je te trouve grande en un si pauvre lieu !...
Quand je vois L'Eternel enveloppé de langes, quand du Verbe Divin j'entends le faible cri
O ma Mère chérie, je n'envie plus les anges car leur Puissant Seigneur est mon Frère chéri !...
Que je t'aime, Marie, toi qui sur nos rivages as fait épanouir cette Divine Fleur !....
Que je t'aime écoutant les bergers et les mages et gardant avec soin toute chose en ton coeur !...
Je t'aime te mêlant avec les autres femmes qui vers le temple saint ont dirigé leurs pas
Je t'aime présentant le Sauveur de nos âmes au bienheureux Vieillard qui le presse en ses bras
D'abord en souriant j'écoute son cantique mais bientôt ses accents me font verser des pleurs.
Plongeant dans l'avenir un regard prophétique Siméon te présente un glaive de douleurs.
O Reine des martyrs, jusqu'au soir de ta vie, cCe glaive douloureux transpercera ton coeur
Déjà tu dois quitter le sol de ta patrie pour éviter d'un roi la jalouse fureur.
Jésus sommeille en paix sous les plis de ton voile, Joseph vient te prier de partir à l'instant
Et ton obéissance aussitôt se dévoile, tu pars sans retard et sans raisonnement.
Sur la terre d'Egypte, il me semble, ô Marie que dans la pauvreté ton coeur reste joyeux,
Car Jésus n'est-Il pas la plus belle Patrie, que t'importe l'exil, tu possèdes les Cieux...
Mais à Jérusalem, une amère tristesse comme un vaste océan vient inonder ton coeur
Jésus, pendant trois jours, se cache à ta tendresse alors c'est bien l'exil dans toute sa rigueur !...
Enfin tu l’aperçois et la joie te transporte, tu dis au bel Enfant qui charme les docteurs :
"O mon Fils, pourquoi donc agis-tu de la sorte ? Voilà ton père et moi qui te cherchions en pleurs."
Et l'Enfant Dieu répond, oh quel profond mystère ! A la Mère chérie qui tend vers lui ses bras:
"Pourquoi me cherchiez-vous ? Aux oeuvres de mon Père, il faut que je m'emploie, ne le savez-vous pas ?"
L'Evangile m'apprend que croissant en sagesse, à Joseph, à Marie, Jésus reste soumis.
Et mon coeur me révèle avec quelle tendresse, il obéit toujours à ses parents chéris.
Maintenant je comprends le mystère du temple, les paroles cachées de mon Aimable Roi.
Mère, ton doux Enfant veut que tu sois l'exemple de l'âme qui Le cherche en la nuit de la foi.
Puisque le Roi des Cieux a voulu que sa Mère soit plongée dans la nuit, dans l'angoisse du coeur ;
Marie, c'est donc un bien de souffrir sur la terre ? Oui souffrir en aimant c'est le plus pur bonheur !
Tout ce qu'Il m'a donné Jésus peut le reprendre, dis-lui de ne jamais se gêner avec moi...
Il peut bien se cacher, je consens à l'attendre jusqu'au jour sans couchant où s'éteindra ma foi...
Je sais qu'à Nazareth, Mère pleine de grâces, tu vis très pauvrement, ne voulant rien de plus
Point de ravissements, de miracles, d'extases n'embellissent ta vie, ô Reine des Elus !
Le nombre des petits est bien grand sur la terre, ils peuvent sans trembler vers toi lever les yeux
C'est par la voie commune, incomparable Mère qu'il te plaît de marcher pour les guider aux Cieux.
En attendant le Ciel, ô ma Mère chérie, je veux vivre avec toi, te suivre chaque jour
Mère, en te contemplant, je me plonge ravie découvrant dans ton coeur des abîmes d'amour.
Ton regard maternel bannit toutes mes craintes, il m'apprend à pleurer, il m'apprend à jouir.
Au lieu de mépriser les joies pures et saintes, tu veux les partager, tu daignes les bénir.
Des époux de Cana voyant l'inquiétude qu'ils ne peuvent cacher,car ils manquent de vin
Au Sauveur tu le dis dans ta sollicitude, espérant le secours de son pouvoir divin.
Jésus semble d'abord repousser ta prière, "Qu'importe" répond-Il, "femme, à vous et à moi ?"
Mais au fond de son coeur, Il te nomme sa Mère et son premier miracle, Il l'opère pour toi...
Un jour que les pécheurs écoutent la doctrine de Celui qui voudrait au Ciel les recevoir
Je te trouve avec eux, Marie, sur la colline quelqu'un dit à Jésus que tu voudrais le voir
Alors, ton Divin Fils devant la foule entière, de son amour pour nous montre l'immensité
Il dit : "Quel est mon frère et ma soeur et ma Mère, si ce n'est celui-là qui fait ma volonté ?"
O Vierge Immaculée, des mères la plus tendre en écoutant Jésus, tu ne t'attristes pas
Mais tu te réjouis qu'Il nous fasse comprendre que notre âme devient sa famille ici-bas
Oui tu te réjouis qu'Il nous donne sa vie, Les trésors infinis de sa divinité
Comment ne pas t'aimer, ô ma Mère chérie en voyant tant d'amour et tant d'humilité?
Tu nous aimes, Marie, comme Jésus nous aime et tu consens pour nous à t'éloigner de Lui.
Aimer c'est tout donner et se donner soi-même, tu voulus le prouver en restant notre appui.
Le Sauveur connaissait ton immense tendresse, il savait les secrets de ton coeur maternel,
Refuge des pécheurs,c'est à toi qu'Il nous laisse quand Il quitte la Croix pour nous attendre au Ciel.
Marie, tu m'apparais au sommet du Calvaire, debout près de la Croix, comme un prêtre à l'autel
Offrant pour apaiser la justice du Père, Ton bien-aimé Jésus, le doux Emmanuel...
Un prophète l'a dit, ô Mère désolée, "Il n'est pas de douleur semblable à ta douleur !"
O Reine des Martyrs, en restant exilée, tu prodigues pour nous tout le sang de ton coeur !
La maison de Saint Jean devient ton seul asile, le fils de Zébédée doit remplacer Jésus...
C'est le dernier détail que donne l'Evangile de la Reine des Cieux il ne me parle plus.
Mais son profond silence, ô ma Mère chérie ne révèle-t-il pas que Le Verbe Eternel
Veut Lui-même chanter les secrets de ta vie pour charmer tes enfants, tous les Elus du Ciel ?
Bientôt je l'entendrai cette douce harmonie, bientôt dans le beau Ciel, je vais aller te voir
Toi qui vins me sourire au matin de ma vie, viens me sourire encore... Mère... voici le soir !...
Je ne crains plus l'éclat de ta gloire suprême, avec toi j'ai souffert et je veux maintenant
Chanter sur tes genoux, Marie, pourquoi je t'aime et redire à jamais que je suis ton enfant !...
« J’ai encore quelque chose à faire avant de mourir », confie Thérèse à sa sœur Céline : « J’ai toujours rêvé d’exprimer dans un chant à la Sainte Vierge tout ce que je pense d’elle » (PA, Rome, p. 268). Quelques mois avant sa mort, Thérèse compose son dernier poème « Pourquoi je t’aime Ô Marie ! » Elle y exprime tout ce qu’elle pense de la Vierge Marie. Elle nous invite à nous tourner vers la Mère de Dieu et notre Mère en méditant sa vie tel que l’Évangile nous la révèle avec discrétion et profondeur…
Thérèse de Lisieux
Docteur de l'Église
Naissance le 2 janvier 1873
Alençon, Orne, France
Décès le 30 septembre 1897 (à 24 ans)
Lisieux, Calvados, France
Nationalité France Française
Vénéré à Basilique de Lisieux
Béatification le 29 avril 1923 Rome
par Pie XI
Canonisation le 17 mai 1925 Rome
par Pie XI
Vénéré par l'Église catholique romaine
Fête 1er octobre
Attributs
Porte un habit de Carmélite, et porte dans ses mains une croix entourée de roses.
Saint patron des Missions, de la France
Thérèse Martin, en religion sœur Thérèse de l’Enfant Jésus et de la Sainte Face, plus connue sous l'appellation de sainte Thérèse de Lisieux ou de sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus ou la petite Thérèse, est une religieuse canonisée née à Alençon le 2 janvier 1873 et morte à Lisieux le 30 septembre 1897.
Fille de Louis et Zélie Martin, Thérèse perd sa mère à l'âge de quatre ans et demi. Elle est élevée par ses sœurs aînées Marie et Pauline, jusqu'à leur entrée au carmel de Lisieux. Elle aussi ressent très tôt un appel à la vie religieuse. Surmontant les obstacles, elle entre au carmel de Lisieux à 15 ans. Après neuf années de vie religieuse, dont les deux dernières passées dans une nuit de la foi, elle meurt de la tuberculose le 30 septembre 1897 à l'âge de 24 ans.
Le retentissement de ses publications posthumes, dont Histoire d'une âme publiée peu de temps après sa mort, en fait l'une des plus grandes saintes du XXe siècle. Considérée par Pie XI comme « l'étoile de son pontificat », elle est rapidement béatifiée et canonisée puis déclarée sainte patronne des missions et sainte patronne secondaire de la France avec Jeanne d'Arc. La dévotion à sainte Thérèse s'est développée partout dans le monde.
La nouveauté de sa spiritualité, appelée la théologie de la « petite voie »1, a inspiré nombre de croyants. Elle propose de rechercher la sainteté, non pas dans les grandes actions, mais dans les actes du quotidien même les plus insignifiants, à condition de les accomplir pour l'amour de Dieu. En 1997, le pape Jean-Paul II a fait d'elle le 33e docteur de l'Église, reconnaissant par-là même l'exemplarité de sa vie et de ses écrits.
Édifiée en son honneur, la basilique de Lisieux est le deuxième plus grand lieu de pèlerinage de France après Lourdes.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Sainte_Th%C3%A9r%C3%A8se_de_Lisieux
Invité- Invité
Salve Regina
Salut, ô Reine, Mère de Miséricorde, notre vie, notre douceur, et notre espérance, salut.
Vers vous nous élevons nos cris, pauvres exilés, malheureux enfants d'Eve.
Vers vous nous soupirons, gémissant et pleurant dans cette vallée de larmes.
De grâce donc, ô notre Avocate, tournez vers nous vos regards miséricordieux.
Et, après cet exil, montrez-nous Jésus, le fruit béni de vos entrailles.
Ô clémente, ô miséricordieuse, ô douce Vierge Marie.
L'antienne Salve Regina est une prière catholique, en latin, dédiée à la Vierge Marie. Elle est chantée. Son incipit littéraire (qui sert de titre) signifie Salut, ô Reine en français.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Salve_Regina
Vers vous nous élevons nos cris, pauvres exilés, malheureux enfants d'Eve.
Vers vous nous soupirons, gémissant et pleurant dans cette vallée de larmes.
De grâce donc, ô notre Avocate, tournez vers nous vos regards miséricordieux.
Et, après cet exil, montrez-nous Jésus, le fruit béni de vos entrailles.
Ô clémente, ô miséricordieuse, ô douce Vierge Marie.
L'antienne Salve Regina est une prière catholique, en latin, dédiée à la Vierge Marie. Elle est chantée. Son incipit littéraire (qui sert de titre) signifie Salut, ô Reine en français.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Salve_Regina
Invité- Invité
Prière à Marie Immaculée - Padre Pio
O Mère, mets en moi cet amour
qui brûlait en ton coeur pour ton Fils.
Moi qui suis faible,
j'admire le mystère de ton Immaculée Conception.
Je le désire ardemment :
Purifie mon coeur pour qu'il puisse mieux aimer Dieu ;
Purifie mon esprit pour qu'il puisse s'élever à lui
et le contempler, l'adorer et le servir en esprit et en vérité ;
Purifie mon corps pour qu'il devienne
un tabernacle moins indigne de la recevoir,
lorsqu'il vient à moi dans l'Eucharistie.
Amen
Padre Pio est le nom de religion d'un capucin et prêtre italien né Francesco Forgione, le 25 mai 1887 à Pietrelcina (province de Bénévent, en Campanie, Italie), mort le 23 septembre 1968 à San Giovanni Rotondo (Italie).
Il avait pris le nom de Pie (en italien Pio) quand il rejoignit l'ordre des frères mineurs capucins. Il fut connu pour être le premier prêtre et l'un des rares hommes à qui l'on attribue des stigmates. Il a été canonisé par l'Église catholique romaine en 2002 sous le nom de Saint Pio de Pietrelcina.
qui brûlait en ton coeur pour ton Fils.
Moi qui suis faible,
j'admire le mystère de ton Immaculée Conception.
Je le désire ardemment :
Purifie mon coeur pour qu'il puisse mieux aimer Dieu ;
Purifie mon esprit pour qu'il puisse s'élever à lui
et le contempler, l'adorer et le servir en esprit et en vérité ;
Purifie mon corps pour qu'il devienne
un tabernacle moins indigne de la recevoir,
lorsqu'il vient à moi dans l'Eucharistie.
Amen
Padre Pio est le nom de religion d'un capucin et prêtre italien né Francesco Forgione, le 25 mai 1887 à Pietrelcina (province de Bénévent, en Campanie, Italie), mort le 23 septembre 1968 à San Giovanni Rotondo (Italie).
Il avait pris le nom de Pie (en italien Pio) quand il rejoignit l'ordre des frères mineurs capucins. Il fut connu pour être le premier prêtre et l'un des rares hommes à qui l'on attribue des stigmates. Il a été canonisé par l'Église catholique romaine en 2002 sous le nom de Saint Pio de Pietrelcina.
Invité- Invité
Regardez l'Etoile - Saint Bernard de Clairvaux
Lorsque vous assaillent
les vents des tentations,
lorsque vous voyez paraître
les écueils du malheur,
regardez l'étoile, invoquez Marie.
Si vous êtes ballottés sur les vagues de l'orgueil,
de l'ambition, de la calomnie, de la jalousie,
regardez l'étoile, invoquez Marie.
Si la colère, l'avarice,
les séductions charnelles viennent secouer
la légère embarcation de votre âme,
levez les yeux vers Marie...
Dans le péril, l'angoisse, le doute,
pensez à Marie, invoquez Marie.
Que son nom ne quitte pas vos lèvres ni vos cœurs !
Et pour obtenir son intercession,
ne vous détournez pas de son exemple.
En la suivant, ne vous égarez pas.
En la suppliant, vous ne connaîtrez pas le désespoir.
En pensant à elle, vous éviterez toute erreur.
Si elle vous soutient, vous ne sombrerez pas ;
si elle vous protège, vous n'aurez rien à craindre ;
sous sa conduite vous ignorerez la fatigue ;
grâce à sa faveur, vous atteindrez le But.
Saint Bernard (1090-1153) a fondé l'abbaye de Clairvaux et lui a donné un rayonnement exceptionnel (160 filiales en quelques années), ce qui fait de lui le véritable «père» de l'ordre cistercien. Grand théologien, docteur de l'Eglise, il fut aussi un prédicateur et un auteur spirituel d'exception. Mais cet homme influent, conseiller des papes et des rois, fut avant tout un mystique en quête d'union avec Dieu. L'un de ceux qui ont contribué à développer la dévotion à Marie. Marie, «Mère de Dieu», boussole de nos existences. L'étoile vers laquelle nous nous tournons ici, avec saint Bernard.
les vents des tentations,
lorsque vous voyez paraître
les écueils du malheur,
regardez l'étoile, invoquez Marie.
Si vous êtes ballottés sur les vagues de l'orgueil,
de l'ambition, de la calomnie, de la jalousie,
regardez l'étoile, invoquez Marie.
Si la colère, l'avarice,
les séductions charnelles viennent secouer
la légère embarcation de votre âme,
levez les yeux vers Marie...
Dans le péril, l'angoisse, le doute,
pensez à Marie, invoquez Marie.
Que son nom ne quitte pas vos lèvres ni vos cœurs !
Et pour obtenir son intercession,
ne vous détournez pas de son exemple.
En la suivant, ne vous égarez pas.
En la suppliant, vous ne connaîtrez pas le désespoir.
En pensant à elle, vous éviterez toute erreur.
Si elle vous soutient, vous ne sombrerez pas ;
si elle vous protège, vous n'aurez rien à craindre ;
sous sa conduite vous ignorerez la fatigue ;
grâce à sa faveur, vous atteindrez le But.
Saint Bernard (1090-1153) a fondé l'abbaye de Clairvaux et lui a donné un rayonnement exceptionnel (160 filiales en quelques années), ce qui fait de lui le véritable «père» de l'ordre cistercien. Grand théologien, docteur de l'Eglise, il fut aussi un prédicateur et un auteur spirituel d'exception. Mais cet homme influent, conseiller des papes et des rois, fut avant tout un mystique en quête d'union avec Dieu. L'un de ceux qui ont contribué à développer la dévotion à Marie. Marie, «Mère de Dieu», boussole de nos existences. L'étoile vers laquelle nous nous tournons ici, avec saint Bernard.
Invité- Invité
O Mère de miséricorde ! - Jean-Paul II
Donne la paix à notre terre
Ô Mère de miséricorde
Nous confions à ton coeur et à ton amour
Le peuple entier et l'Eglise de cette terre
Garde-nous de toute injustice,
De toute division,
De toute violence et de toute guerre.
Garde-nous de la tentation
Et de l'esclavage du péché et du mal.
Sois avec nous !
Aides-nous à vaincre le doute par la foi,
L'égoïsme par le service,
L'orgueil par la mansuétude,
La haine par l'amour.
Ô Mère du Christ,
Sois notre réconfort
Et donne force à tous ceux qui souffrent :
Aux pauvres,
A ceux qui sont seuls,
Aux malades,
Aux non-aimés, aux abandonnés.
Donne la paix à notre terre divisée;
Et à tous, la lumière de l'espérance.
Ô Mère de miséricorde
Nous confions à ton coeur et à ton amour
Le peuple entier et l'Eglise de cette terre
Garde-nous de toute injustice,
De toute division,
De toute violence et de toute guerre.
Garde-nous de la tentation
Et de l'esclavage du péché et du mal.
Sois avec nous !
Aides-nous à vaincre le doute par la foi,
L'égoïsme par le service,
L'orgueil par la mansuétude,
La haine par l'amour.
Ô Mère du Christ,
Sois notre réconfort
Et donne force à tous ceux qui souffrent :
Aux pauvres,
A ceux qui sont seuls,
Aux malades,
Aux non-aimés, aux abandonnés.
Donne la paix à notre terre divisée;
Et à tous, la lumière de l'espérance.
Invité- Invité
Vierge Sainte
Vierge sainte, Dieu t'a choisie
Depuis toute éternité,
Pour nous donner son Fils bien-aimé,
Pleine de grâces, nous t'acclamons.
Par ta foi et par ton amour,
Ô Servante du Seigneur,
Tu participes à l'œuvre de Dieu,
Pleine de grâces, nous te louons.
En donnant aux hommes ton Fils,
Mère riche de bonté,
Tu fais la joie de ton Créateur,
Pleine de grâces, nous t'acclamons.
Ô Marie, refuge très sûr
Pour les hommes, tes enfants,
Tu nous comprends et veilles sur nous,
Pleine de grâces, nous te louons.
Tu demeures près de nos vies
Nos misères et nos espoirs,
Pour que la joie remplisse nos cœurs,
Pleine de grâces, nous t'acclamons.
Ô Marie, modèle éclatant
Pour le monde d'aujourd'hui,
Tu nous apprends ce qu'est la beauté,
Pleine de grâces, nous t'admirons.
Tu nous mènes auprès de ton Fils
Qui nous parle de l'amour
Et nous apprends ce qu'est le pardon,
Pleine de grâces, nous t'écoutons.
Bienheureux les pauvres en esprit,
Qui écoutent le Seigneur.
Car avec toi il triomphera
Près de ton Fils, pour l'éternité.
Bienheureux le cœur affligé,
L'opprimé, le malheureux.
Car avec toi il exultera
Dans le royaume de toute joie.
Bienheureux le cœur assoiffé
De justice et de bonheur.
Car le Seigneur le rassasiera
Dans le royaume de toute Paix.
Bienheureux le cœur généreux
Attentif à son prochain.
Quand il sera jugé sur l'Amour,
Il obtiendra le pardon de Dieu.
Bienheureux seront les cœurs purs
Dont la foi ne tarit pas.
Car avec toi, aux siècles sans fin
Ils verront Dieu et le chanteront.
Bienheureux les persécutés
Et les artisans de paix.
Car avec toi, ils partageront
Le vrai bonheur des enfants de Dieu.
Exultez, soyez dans la joie :
Dieu attend tous ses amis ;
Dans son royaume, II les comblera
Auprès de toi, pour l'éternité.
Rendons gloire au Père très bon,
A son Fils ressuscité
Au Saint Esprit qui vit en nos cœurs,
Dans tous les siècles des siècles.
Amen.
Depuis toute éternité,
Pour nous donner son Fils bien-aimé,
Pleine de grâces, nous t'acclamons.
Par ta foi et par ton amour,
Ô Servante du Seigneur,
Tu participes à l'œuvre de Dieu,
Pleine de grâces, nous te louons.
En donnant aux hommes ton Fils,
Mère riche de bonté,
Tu fais la joie de ton Créateur,
Pleine de grâces, nous t'acclamons.
Ô Marie, refuge très sûr
Pour les hommes, tes enfants,
Tu nous comprends et veilles sur nous,
Pleine de grâces, nous te louons.
Tu demeures près de nos vies
Nos misères et nos espoirs,
Pour que la joie remplisse nos cœurs,
Pleine de grâces, nous t'acclamons.
Ô Marie, modèle éclatant
Pour le monde d'aujourd'hui,
Tu nous apprends ce qu'est la beauté,
Pleine de grâces, nous t'admirons.
Tu nous mènes auprès de ton Fils
Qui nous parle de l'amour
Et nous apprends ce qu'est le pardon,
Pleine de grâces, nous t'écoutons.
Bienheureux les pauvres en esprit,
Qui écoutent le Seigneur.
Car avec toi il triomphera
Près de ton Fils, pour l'éternité.
Bienheureux le cœur affligé,
L'opprimé, le malheureux.
Car avec toi il exultera
Dans le royaume de toute joie.
Bienheureux le cœur assoiffé
De justice et de bonheur.
Car le Seigneur le rassasiera
Dans le royaume de toute Paix.
Bienheureux le cœur généreux
Attentif à son prochain.
Quand il sera jugé sur l'Amour,
Il obtiendra le pardon de Dieu.
Bienheureux seront les cœurs purs
Dont la foi ne tarit pas.
Car avec toi, aux siècles sans fin
Ils verront Dieu et le chanteront.
Bienheureux les persécutés
Et les artisans de paix.
Car avec toi, ils partageront
Le vrai bonheur des enfants de Dieu.
Exultez, soyez dans la joie :
Dieu attend tous ses amis ;
Dans son royaume, II les comblera
Auprès de toi, pour l'éternité.
Rendons gloire au Père très bon,
A son Fils ressuscité
Au Saint Esprit qui vit en nos cœurs,
Dans tous les siècles des siècles.
Amen.
Invité- Invité
La prière à Notre Dame de Lourdes
Marie, tu t’es montrée à Bernadette dans le creux du rocher.
Dans le froid et l’ombre de l’hiver,
tu apportais la chaleur d’une présence,
la lumière et la beauté.
Dans le creux de nos vies souvent obscures,
au creux du monde où le Mal est puissant,
apporte l’espérance,
redonne la confiance !
Toi qui es l’Immaculée Conception,
viens en aide aux pécheurs que nous sommes.
Donne-nous l’humilité de la conversion,
le courage de la pénitence.
Apprends-nous à prier pour tous les hommes.
Guide-nous vers les sources de la vraie vie.
Fais de nous des pèlerins en marche au sein de ton Eglise.
Aiguise en nous la faim de l’eucharistie,
le pain de la route, le pain de vie.
En toi, Marie, l’Esprit Saint accomplit des merveilles :
par sa puissance, il t’a placée auprès du Père,
dans la gloire de ton Fils, à jamais vivant.
Regarde avec tendresse
les misères de nos corps et de nos cœurs.
Brille pour tous, comme une douce lumière,
au passage de la mort.
Avec Bernadette, nous te prions, Marie,
dans la simplicité des enfants.
Fais-nous entrer, comme elle, dans l’esprit des Béatitudes.
Alors, nous pourrons, dès ici-bas,
commencer à connaître la joie du Royaume
et chanter, avec toi :
Magnificat !
Gloire à toi, Vierge Marie,
heureuse servante du Seigneur,
Mère de Dieu,
demeure de l’Esprit Saint !
Amen !
Dans le froid et l’ombre de l’hiver,
tu apportais la chaleur d’une présence,
la lumière et la beauté.
Dans le creux de nos vies souvent obscures,
au creux du monde où le Mal est puissant,
apporte l’espérance,
redonne la confiance !
Toi qui es l’Immaculée Conception,
viens en aide aux pécheurs que nous sommes.
Donne-nous l’humilité de la conversion,
le courage de la pénitence.
Apprends-nous à prier pour tous les hommes.
Guide-nous vers les sources de la vraie vie.
Fais de nous des pèlerins en marche au sein de ton Eglise.
Aiguise en nous la faim de l’eucharistie,
le pain de la route, le pain de vie.
En toi, Marie, l’Esprit Saint accomplit des merveilles :
par sa puissance, il t’a placée auprès du Père,
dans la gloire de ton Fils, à jamais vivant.
Regarde avec tendresse
les misères de nos corps et de nos cœurs.
Brille pour tous, comme une douce lumière,
au passage de la mort.
Avec Bernadette, nous te prions, Marie,
dans la simplicité des enfants.
Fais-nous entrer, comme elle, dans l’esprit des Béatitudes.
Alors, nous pourrons, dès ici-bas,
commencer à connaître la joie du Royaume
et chanter, avec toi :
Magnificat !
Gloire à toi, Vierge Marie,
heureuse servante du Seigneur,
Mère de Dieu,
demeure de l’Esprit Saint !
Amen !
Invité- Invité
Prière à Notre -Dame de la Garde
Vierge Marie, je viens te prier
Toi que j'appelle ici Notre Dame de la Garde
Tu me présentes ton Fils.
Il me dit: "Voici ta Mère".
Je suis et je veux rester ton enfant.
Garde-moi la santé de l'âme et du corps.
Garde-la aussi à tous ceux qui me sont chers.
(Je prie spécialement aujourd'hui pour ..)
Aide-nous à être fidèles à la foi de notre Baptême,
et obéissants à tout ce que ton Fils nous demande.
Donne-nous d'aimer tous ceux qui nous entourent.
Que notre amour rayonne de bonté, de compréhension et d'indulgence.
Aide-nous à servir toujours davantage nos frères.
Soutiens-nous dans les épreuves.
Protège tous ceux qui souffrent dans leur corps et dans leur coeur.
0 Vierge de la Garde, ô ma Mère du Ciel,
je m'adresse à toi avec un coeur d'enfant.
Prie pour nous ton Fils Jésus.
Obtiens-nous la grâce de l'aimer toujours plus
et de lui ressembler chaque jour davantage.
Amen
Une prière qui m'a été "offerte" par Daniel William.
Toi que j'appelle ici Notre Dame de la Garde
Tu me présentes ton Fils.
Il me dit: "Voici ta Mère".
Je suis et je veux rester ton enfant.
Garde-moi la santé de l'âme et du corps.
Garde-la aussi à tous ceux qui me sont chers.
(Je prie spécialement aujourd'hui pour ..)
Aide-nous à être fidèles à la foi de notre Baptême,
et obéissants à tout ce que ton Fils nous demande.
Donne-nous d'aimer tous ceux qui nous entourent.
Que notre amour rayonne de bonté, de compréhension et d'indulgence.
Aide-nous à servir toujours davantage nos frères.
Soutiens-nous dans les épreuves.
Protège tous ceux qui souffrent dans leur corps et dans leur coeur.
0 Vierge de la Garde, ô ma Mère du Ciel,
je m'adresse à toi avec un coeur d'enfant.
Prie pour nous ton Fils Jésus.
Obtiens-nous la grâce de l'aimer toujours plus
et de lui ressembler chaque jour davantage.
Amen
Une prière qui m'a été "offerte" par Daniel William.
Invité- Invité
Vierge Marie, prends-moi par la main Auteur : José Delescaille
En ce jour qui commence,
Marie ma providence,
Je m'adresse à toi,
Le creuset de ma foi.
Je pourrais m'en tirer,
Ne rien te demander.
Mais je sais qu'avec toi,
J'aurai fait le bon choix.
A mes heures de doute,
Quand un sourire me coûte,
Montre-moi le chemin
Et prends-moi par la main.
Quand mes yeux ne voient plus,
Que mes plaies sont à nu,
Soulage mon chagrin
Et prends-moi par la main.
Quand me manque la sagesse
De taire les mots qui blessent,
Mets à ma langue un frein
Et prends-moi par la main.
Si j'oublie d'écouter
Ou de laisser parler,
Donne-moi ta patience,
Fais sentir ta présence.
Et si tout me sourit,
Que sont loin mes soucis,
Toi, guide de ma vie,
Je te salue Marie.
Photo trouvée sur doctissimo
Marie ma providence,
Je m'adresse à toi,
Le creuset de ma foi.
Je pourrais m'en tirer,
Ne rien te demander.
Mais je sais qu'avec toi,
J'aurai fait le bon choix.
A mes heures de doute,
Quand un sourire me coûte,
Montre-moi le chemin
Et prends-moi par la main.
Quand mes yeux ne voient plus,
Que mes plaies sont à nu,
Soulage mon chagrin
Et prends-moi par la main.
Quand me manque la sagesse
De taire les mots qui blessent,
Mets à ma langue un frein
Et prends-moi par la main.
Si j'oublie d'écouter
Ou de laisser parler,
Donne-moi ta patience,
Fais sentir ta présence.
Et si tout me sourit,
Que sont loin mes soucis,
Toi, guide de ma vie,
Je te salue Marie.
Photo trouvée sur doctissimo
Invité- Invité
Re: Le mois de Marie
Mélusine a écrit:Tous les jours une nouvelle prière, tu sais que j'attends cela avec impatience, et c'est "magique" à chaque fois
Depuis un certain temps, je poste 2 prières par jour, une le matin, une le soir. Je voudrais qu'à la fin, il y ait 31 prières, une par jour du mois de Marie
Invité- Invité
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