Histoire du Reiki partie 2 Sa redécouverte du Reïki dans le détail.
Histoire du Reiki partie 2 Sa redécouverte du Reïki dans le détail.
Voici l'histoire du docteur Mikao Usui qui a créé le système de guérison naturelle Reiki. La seule version de l'histoire que nous ayons a été enregistrée par Mme Takata, un maître Reiki qui a été formée par le docteur Hayashi qui a lui-même été formé et qui a travaillé avec le docteur Usui. Le docteur Usui semble avoir été un génie, un grand philosophe et un grand enseignant. Il était catholique et il était le recteur de l'université de Doshisha à Kyoto au Japon.
Le défi
Un dimanche, en montant sur le podium à la fin du XIXe siècle, le docteur Usui fut interpellé par une demi-douzaine d'étudiants qui se trouvaient au premier rang. En général les étudiants étaient assis à l'arrière. Un des étudiants leva la main. Il dit qu'ils auraient leur diplôme dans les deux mois, mais qu'avant les aurait voulu avoir une réponse. Il voulait savoir si le docteur Usui faisait entièrement confiance à la Bible et s'il croyait que Jésus pouvait guérir en imposant les mains. Le docteur Usui répondit y croyait. Les étudiants lui répondit que lui aussi et les autres étudiants étaient prêts à le croire mais qui demandait au docteur Usui de leur en faire la démonstration. Il lui demanda de guérir un aveugle, un paralytique ou simplement de marcher sur les eaux. Usui répondit qu'il croyait que cela avait été fait mais que lui-même n'avait pas appris à le faire. L'orateur dit : " merci beaucoup, nous pouvons dire que votre confiance en la Bible est aveugle, mais nous, nous ne voulons pas avoir une foi aveugle ". La réponse du docteur Usui fut qu'il ne pouvait le démontrer mais qu'il aurait aimé le démontrer un jour. Il répondit qu'il trouverait le moyen de le faire et viendrait leur montrer. Le lendemain il décida d'étudier la Bible dans un pays catholique.
La quête
Le docteur Usui choisit l'Amérique. Il entra à l'université, peut-être celle de Chicago, mais ce n'est pas sur. Il y découvrit que l'enseignement n'est pas ce qu'il y a de plus sur. Il y découvrit que l'enseignement de la Bible n'était pas fort différent de celui qui était donné au Japon. Personne ne savait comment Jésus faisait pour guérir. À l'université il étudia d'autres philosophies et dans le bouddhisme il trouva un passage où il est dit que Bouddha guérissait en imposant les mains. Il passa les sept années de son séjour aux États-Unis à se concentrer sur le bouddhisme, espérant trouver une formule de guérison. Mais ce ne fut pas le cas. Il repartit étudier le bouddhisme dans un pays bouddhiste, le Japon. Il retourna dans la ville de Kyoto. C'est là qu'il y avait le plus de monde est le plus de monastères du Japon.
Au monastère de Shin, Usui demanda à un moine si les sûtras bouddhistes parlaient des guérisons de Bouddha. La réponse fut oui. Il demanda si les moines du monastère maîtrisaient cet art de la guérison du corps. On lui répondit : " nous, les moines n'avons pas de temps à consacrer au corps physique car nous cherchons à grandir spirituellement. D'abord la guérison spirituelle ". Usui repartit dans la jungle pouvoir d'autres moines dans d'autres temples. On lui dit la même chose. Dans aucun de monastères les moines savaient guérir. Sa dernière escale fut un temple Zen. On lui dit aussi que les moines étaient très très très occupés et n'avaient que peu de temps à consacrer à la guérison du corps. Mais, par contre, qu’ils 'étaient sur qu’un jour, au cours d'une méditation, ils recevraient cette grande illumination et sauraient comment guérir. Usui décida de rester au monastère où est dit étudier leur secret.
Il passa trois ans à étudier les sûtras, mais en vain. Il reçut l'autorisation de rester au temple pour y mener une recherche indépendante. Il y apprit le chinois, parce que les sutras japonais étaient traduits du chinois. Il y apprit le sanskrit parce que bouddha vous était hindou. En étudiant le sanskrit, il découvrit une formule de guérison. S'en était une, mais une formule vieille de 2500 ans devait être interprétée et testée. Usui se dit qu'il fallait la tester sans quoi des années de recherches auraient été perdues. Il en parla au principal du monastère. Le moine lui répondit qu'il était bien courageux, et qui pouvait expérimenter au monastère. À quoi il répondit qu'il préférait le faire sur le mont Koriyama, une montagne connue pour être d'une méditation.
La méditation
Le docteur Usui dit aux moines : " je vais partir méditer pendant vingt et un jours. Si je ne reviens pas le soir du 21e jour, le matin du 22e jour envoyez une équipe de recherches pour retrouver mon corps, car je serai mort ". Avant de partir il dit aux moines : " je ferai cette méditation en n'emportant aucune nourriture, seulement de l'eau ". Et monta sur la montagne.
Sur la montagne il trouva un vieil arbre à côté d'un ruisseau. Il prit vingt et un cailloux et les humecta (on ne sait pas pourquoi). Il s'adossa à l’arbre et posa les cailloux devant lui. Il retira un de ces cailloux et commença sa méditation. Il s’attendait à phénomène extraordinaire sans savoir exactement à quoi s'attendre. Il chanta, médita et but de l'eau. Il n’avait aucune nourriture. Les jours et les nuits se suivirent. Le nombre de cailloux diminua, mais toujours aucun phénomène particulier. Rien. Le 21e jour il retira le dernier caillou. Il faisait noir, pas de Lune, pas d'étoiles.
Le docteur Usui médita, sachant que c'était la dernière fois. Il ouvrit les yeux, ne s'attendant à rien. Il ouvrit les yeux, mais là, à l'horizon, il vit une lueur, comme la lueur d'une bougie. Instinctivement il savait que c'était la manifestation espérée et tant redoutée. Il se dit : " je vais garder les yeux ouverts quoi qu'il se passe avec cette lueur ".
La lueur s'approcha de lui. Elle semblait s'accélérer en s'approchant de lui, il prit peur et se dit que si la lueur s'approchait trop de lui il serait brûlé. " Je ne vais pas fuir, je vais faire face, je suis prêt ". Il se détendit, garda les yeux grands ouverts et la lueur toucha son front. " J'ai un contact ", se dit-il en tombant en arrière. Dans un premier temps il se croyait mort car il ne sentait et ne voyait plus rien. La lumière était partie. Il était la, assis, quand soudain des bulles colorées se mirent à sortir du sol et à monter.
Des millions et des millions de bulles de toutes les couleurs de l'arc-en-ciel dansaient devant lui pour aller vers la gauche. Il compta sept couleurs. " C'est phénoménal, quelle bénédiction ! ". Il entendit une fois qui lui dit : " souviens-toi, souviens-toi ". Il se remémora tout ce qu'il avait appris en sanskrit et c'est alors que des symboles se montrèrent à lui. " C'est cela, c'est cela, souviens-toi, souviens-toi ".
Quand le phénomène disparut, il se dit : " je dois fermer les yeux, et pour la dernière méditation, s'il vous plaît donnez-moi une vision ". Il ferma les yeux et des symboles dorés devant lui.
Les miracles
C’était terminé. " Maintenant je peux ouvrir les yeux ". Lorsqu'il reprit conscience il fut surpris de n'avoir aucune douleur ni aucune faim. " Je sens que mon corps va bien, je vais me lever ". Il se leva. " Mes jambes et mes pieds sont robustes. J'ai jeûné 21 jours et me sens prêt à marcher. C'est un miracle, je n'ai pas faim, je me sens léger ". Il fit ce premier pas et partit. Les moines l'attendaient au coucher du soleil. Au pied de la montagne, Usui se blessa à l'orteil, il saignait, cela faisait mal. Il s'assit et prit son orteil dans la main. La douleur s'affaiblir et le sang arrêta de couler. Il continua à tenir son orteil En main jusqu'à ce que la douleur ait complètement disparu. Il regarda son orteil et vit qu'il n'y avait plus aucune trace de blessures. Il ne restait plus que du sang sec. " C'est un deuxième miracle ! ".
Un peu plus loin sur la route, il trouva des cendres, ce qui veut dire qu'il y avait moyen de manger et que tout le monde était le bienvenu. Il s'approcha d'un vieillard qui allumait le feu et lui dit : " bonjour vieil homme ", " bonjour mon cher moine, vous êtes bien matinal ". " Oui, je sais. Vous resterait-il un peu de thé et de riz ? J'aimerais aussi avoir quelques légumes et du poisson séché si vous en avez ". Le vieil homme devinait grâce à sa barbe que le moine revenait d'une longue méditation. " Je ne peux vous donner à manger toutes ces choses, vous risqueriez une grosse indigestion, et je n'ai pas de médicaments. La ville est loin. Il faudra attendre que je vous aie préparé un repas léger ". " Merci, c'est très gentil, mais je vais essayer ".
Le docteur Usui se sentit faible en allant vers la table pour y attendre son repas. Le vieillard se dit : " eh bien, s'il désire manger tant, qu'il le fasse, je ne serai pas responsable ".
La petite fille du vieillard âgée de 15 ans apporta le repas. Elle pleurait et dit au moine : " mon cher moine, j'ai une rage de dents depuis trois jours, j'ai tellement mal que je ne peux arrêter mes larmes, je suis incapable de manger, le dentiste habite trop loin, je ne peux y aider ". Le cœur d’Usui s’ouvrit à l'enfant et il mit la main sur sa joue. Elle s'écria : " mon cher moine, vous avez fait un miracle, la douleur a disparu ". Il eut du mal à la croire. Mais c'était vrai, elle était heureuse et n'avait plus mal. L'enfant le remercia et raconta tout à son grand-père. Le vieil homme vint près du moine et lui offrit son repas en signe de reconnaissance. Nous n'avons pas d'argent, mais par gratitude nous offrons le repas. C'est tout ce que nous pouvons offrir ". Usui dit : " merci, j'accepte, merci beaucoup ". Il se retourna vers son repas et mangea toute la nourriture. Les gens le regardaient espérant qu'il n'ait pas d'indigestion.
Il n'eut pas d'indigestion et il repartit car il fallait arriver au temple avant la tombée de la nuit. Un jeune page attendait Usui à la porte du temple, Usui lui demanda des nouvelles du moine principal. " Il souffre d'arthrite et de maux de dos, il est alité ". Avant d'aller rendre visite au moine, Usui alla dans sa chambre pour se rafraîchir et se changer. Ensuite il se rendit au chevet du moine. " Mon cher moine, je suis revenu. La méditation a réussi ". Le moine voulut avoir tous les détails et Usui posa ses mains sur le moine en lui racontant sa méditation. Le moine lui dit qu'il n'avait plus mal et qui pourrait dormir. " Je vais bien, vous dites que cela s'appelle Reiki ".
L'expérience Reiki
Pour la première fois depuis trois semaines, Usui dormit dans un lit. Le lendemain, après le petit déjeuner, il posa une question aux moines du temple : " je vais-je faire pour travailler avec le Reiki ? " Après de longues discussions, on décida que le mieux serait d'aller dans un des nombreux bidonvilles de la ville de Kyoto. Ces bidonvilles étaient l’endroit où il y avait le plus de misère et de maladies, la lèpre entre autres. Ils choisirent le plus grand des bidonvilles.
Usui partit habillé en moine en emmenant avec lui de sacs de légumes. Très vite d'un mendiant l'entourèrent. Il leur dit : " je voudrais être l'un d'entre vous et j'aimerais vivre ici ". On lui répondit : " nous avons un chef, si tu veux rester ici, nous devons le lui demander ". Le chef des mendiants arriva aussitôt et dit : " je comprends que tu veuilles vivre ici et devenir l'un d'entre nous, donne nous tes légumes, et il n'est pas nécessaire de porter des vêtements neufs ". Ils le déshabillèrent et trouvèrent sa bourse de monnaie et la prirent. Le docteur Usui se vêtit de ses vêtements initiatiques de mendiant. Le chef demanda à Usui ce qu'il était venu faire dans ce bidonville. " Vous me logez et vous me nourrissez, envoyez-moi les malades et je les guérirai ". Le chef trouva que c'était un bon échange et dit : " ici, il y a toutes sortes de maladies, y compris la tuberculose et la lèpre. Vous n'avez pas peur de toucher ? ". Il lui répondit qu'un guérisseur n'a pas peur de la maladie et lui promit de travailler du matin au soir.
Le lendemain matin, les malades étaient nombreux sur le repas de la porte du docteur. Il classait les malades en fonction de ses propres théories. Il pensait que la maladie avec une cause intérieure. Il pensait que chez les jeunes la cause serait traitée plus facilement. Il envoyait les personnes qu'il avait guéries au temple zen où on leur donnait un nouveau nom et du travail en ville. Il leur demandait de devenir des citoyens honnêtes et d'oublier le bidonville.
Un soir, après sept longues années de Reiki, alors qu'il se promenait dans le bidonville, il vit un visage qui lui semblait familier. C'était un des premiers mendiants qu'il avait guéri. Il dit : " je reviens au bidonville, il est plus facile de mendier que de travailler ". Ce fut le plus grand choc de la vie d’Usui, et il se mit à crier. La plupart de ces anciens patients revenaient au bidonville. Il se rendit compte qu'après toutes ces années passées à étudier et après toutes ces années passées dans le bidonville, il ne s'était occupé que de l'aspect physique du mal et non de l'aspect spirituel. " Les religions ont raison, le plan spirituel vient en premier lieu et le plan matériel en seconde position. Je me suis trompé, c'est de ma faute si des mendiants reviennent. Je ne leur ai pas enseigné la gratitude. Ils sont la partie ont l'habitude de recevoir mais qui n'ont pas l'habitude de donner. J'aimerais d'abord leur ouvrir la voie spirituelle et ensuite guérir le corps. Fini des mendiants. C'est de ma faute si ils sont revenus, j'aurais dû leur enseigner la gratitude ". Et il quitta le bidonville.
La croisade
Le docteur Usui se lança alors dans une véritable croisade pour aider les malheureux, les déprimés. Il voulait ouvrir leur cœur, purifier leur esprit et leur corps. À pied, il alla de temple en temple au Japon. Chaque fois il y donnait des conférences. C'est après une de ses conférences qu'il rencontra le docteur Chujiro Hayashi, un militaire retraité de quarante-cinq ans. Celui-ci resta avec Usui jusqu'à sa mort. Usui a dit que ce serait Hayashi qui continuerait son œuvre.
Le défi
Un dimanche, en montant sur le podium à la fin du XIXe siècle, le docteur Usui fut interpellé par une demi-douzaine d'étudiants qui se trouvaient au premier rang. En général les étudiants étaient assis à l'arrière. Un des étudiants leva la main. Il dit qu'ils auraient leur diplôme dans les deux mois, mais qu'avant les aurait voulu avoir une réponse. Il voulait savoir si le docteur Usui faisait entièrement confiance à la Bible et s'il croyait que Jésus pouvait guérir en imposant les mains. Le docteur Usui répondit y croyait. Les étudiants lui répondit que lui aussi et les autres étudiants étaient prêts à le croire mais qui demandait au docteur Usui de leur en faire la démonstration. Il lui demanda de guérir un aveugle, un paralytique ou simplement de marcher sur les eaux. Usui répondit qu'il croyait que cela avait été fait mais que lui-même n'avait pas appris à le faire. L'orateur dit : " merci beaucoup, nous pouvons dire que votre confiance en la Bible est aveugle, mais nous, nous ne voulons pas avoir une foi aveugle ". La réponse du docteur Usui fut qu'il ne pouvait le démontrer mais qu'il aurait aimé le démontrer un jour. Il répondit qu'il trouverait le moyen de le faire et viendrait leur montrer. Le lendemain il décida d'étudier la Bible dans un pays catholique.
La quête
Le docteur Usui choisit l'Amérique. Il entra à l'université, peut-être celle de Chicago, mais ce n'est pas sur. Il y découvrit que l'enseignement n'est pas ce qu'il y a de plus sur. Il y découvrit que l'enseignement de la Bible n'était pas fort différent de celui qui était donné au Japon. Personne ne savait comment Jésus faisait pour guérir. À l'université il étudia d'autres philosophies et dans le bouddhisme il trouva un passage où il est dit que Bouddha guérissait en imposant les mains. Il passa les sept années de son séjour aux États-Unis à se concentrer sur le bouddhisme, espérant trouver une formule de guérison. Mais ce ne fut pas le cas. Il repartit étudier le bouddhisme dans un pays bouddhiste, le Japon. Il retourna dans la ville de Kyoto. C'est là qu'il y avait le plus de monde est le plus de monastères du Japon.
Au monastère de Shin, Usui demanda à un moine si les sûtras bouddhistes parlaient des guérisons de Bouddha. La réponse fut oui. Il demanda si les moines du monastère maîtrisaient cet art de la guérison du corps. On lui répondit : " nous, les moines n'avons pas de temps à consacrer au corps physique car nous cherchons à grandir spirituellement. D'abord la guérison spirituelle ". Usui repartit dans la jungle pouvoir d'autres moines dans d'autres temples. On lui dit la même chose. Dans aucun de monastères les moines savaient guérir. Sa dernière escale fut un temple Zen. On lui dit aussi que les moines étaient très très très occupés et n'avaient que peu de temps à consacrer à la guérison du corps. Mais, par contre, qu’ils 'étaient sur qu’un jour, au cours d'une méditation, ils recevraient cette grande illumination et sauraient comment guérir. Usui décida de rester au monastère où est dit étudier leur secret.
Il passa trois ans à étudier les sûtras, mais en vain. Il reçut l'autorisation de rester au temple pour y mener une recherche indépendante. Il y apprit le chinois, parce que les sutras japonais étaient traduits du chinois. Il y apprit le sanskrit parce que bouddha vous était hindou. En étudiant le sanskrit, il découvrit une formule de guérison. S'en était une, mais une formule vieille de 2500 ans devait être interprétée et testée. Usui se dit qu'il fallait la tester sans quoi des années de recherches auraient été perdues. Il en parla au principal du monastère. Le moine lui répondit qu'il était bien courageux, et qui pouvait expérimenter au monastère. À quoi il répondit qu'il préférait le faire sur le mont Koriyama, une montagne connue pour être d'une méditation.
La méditation
Le docteur Usui dit aux moines : " je vais partir méditer pendant vingt et un jours. Si je ne reviens pas le soir du 21e jour, le matin du 22e jour envoyez une équipe de recherches pour retrouver mon corps, car je serai mort ". Avant de partir il dit aux moines : " je ferai cette méditation en n'emportant aucune nourriture, seulement de l'eau ". Et monta sur la montagne.
Sur la montagne il trouva un vieil arbre à côté d'un ruisseau. Il prit vingt et un cailloux et les humecta (on ne sait pas pourquoi). Il s'adossa à l’arbre et posa les cailloux devant lui. Il retira un de ces cailloux et commença sa méditation. Il s’attendait à phénomène extraordinaire sans savoir exactement à quoi s'attendre. Il chanta, médita et but de l'eau. Il n’avait aucune nourriture. Les jours et les nuits se suivirent. Le nombre de cailloux diminua, mais toujours aucun phénomène particulier. Rien. Le 21e jour il retira le dernier caillou. Il faisait noir, pas de Lune, pas d'étoiles.
Le docteur Usui médita, sachant que c'était la dernière fois. Il ouvrit les yeux, ne s'attendant à rien. Il ouvrit les yeux, mais là, à l'horizon, il vit une lueur, comme la lueur d'une bougie. Instinctivement il savait que c'était la manifestation espérée et tant redoutée. Il se dit : " je vais garder les yeux ouverts quoi qu'il se passe avec cette lueur ".
La lueur s'approcha de lui. Elle semblait s'accélérer en s'approchant de lui, il prit peur et se dit que si la lueur s'approchait trop de lui il serait brûlé. " Je ne vais pas fuir, je vais faire face, je suis prêt ". Il se détendit, garda les yeux grands ouverts et la lueur toucha son front. " J'ai un contact ", se dit-il en tombant en arrière. Dans un premier temps il se croyait mort car il ne sentait et ne voyait plus rien. La lumière était partie. Il était la, assis, quand soudain des bulles colorées se mirent à sortir du sol et à monter.
Des millions et des millions de bulles de toutes les couleurs de l'arc-en-ciel dansaient devant lui pour aller vers la gauche. Il compta sept couleurs. " C'est phénoménal, quelle bénédiction ! ". Il entendit une fois qui lui dit : " souviens-toi, souviens-toi ". Il se remémora tout ce qu'il avait appris en sanskrit et c'est alors que des symboles se montrèrent à lui. " C'est cela, c'est cela, souviens-toi, souviens-toi ".
Quand le phénomène disparut, il se dit : " je dois fermer les yeux, et pour la dernière méditation, s'il vous plaît donnez-moi une vision ". Il ferma les yeux et des symboles dorés devant lui.
Les miracles
C’était terminé. " Maintenant je peux ouvrir les yeux ". Lorsqu'il reprit conscience il fut surpris de n'avoir aucune douleur ni aucune faim. " Je sens que mon corps va bien, je vais me lever ". Il se leva. " Mes jambes et mes pieds sont robustes. J'ai jeûné 21 jours et me sens prêt à marcher. C'est un miracle, je n'ai pas faim, je me sens léger ". Il fit ce premier pas et partit. Les moines l'attendaient au coucher du soleil. Au pied de la montagne, Usui se blessa à l'orteil, il saignait, cela faisait mal. Il s'assit et prit son orteil dans la main. La douleur s'affaiblir et le sang arrêta de couler. Il continua à tenir son orteil En main jusqu'à ce que la douleur ait complètement disparu. Il regarda son orteil et vit qu'il n'y avait plus aucune trace de blessures. Il ne restait plus que du sang sec. " C'est un deuxième miracle ! ".
Un peu plus loin sur la route, il trouva des cendres, ce qui veut dire qu'il y avait moyen de manger et que tout le monde était le bienvenu. Il s'approcha d'un vieillard qui allumait le feu et lui dit : " bonjour vieil homme ", " bonjour mon cher moine, vous êtes bien matinal ". " Oui, je sais. Vous resterait-il un peu de thé et de riz ? J'aimerais aussi avoir quelques légumes et du poisson séché si vous en avez ". Le vieil homme devinait grâce à sa barbe que le moine revenait d'une longue méditation. " Je ne peux vous donner à manger toutes ces choses, vous risqueriez une grosse indigestion, et je n'ai pas de médicaments. La ville est loin. Il faudra attendre que je vous aie préparé un repas léger ". " Merci, c'est très gentil, mais je vais essayer ".
Le docteur Usui se sentit faible en allant vers la table pour y attendre son repas. Le vieillard se dit : " eh bien, s'il désire manger tant, qu'il le fasse, je ne serai pas responsable ".
La petite fille du vieillard âgée de 15 ans apporta le repas. Elle pleurait et dit au moine : " mon cher moine, j'ai une rage de dents depuis trois jours, j'ai tellement mal que je ne peux arrêter mes larmes, je suis incapable de manger, le dentiste habite trop loin, je ne peux y aider ". Le cœur d’Usui s’ouvrit à l'enfant et il mit la main sur sa joue. Elle s'écria : " mon cher moine, vous avez fait un miracle, la douleur a disparu ". Il eut du mal à la croire. Mais c'était vrai, elle était heureuse et n'avait plus mal. L'enfant le remercia et raconta tout à son grand-père. Le vieil homme vint près du moine et lui offrit son repas en signe de reconnaissance. Nous n'avons pas d'argent, mais par gratitude nous offrons le repas. C'est tout ce que nous pouvons offrir ". Usui dit : " merci, j'accepte, merci beaucoup ". Il se retourna vers son repas et mangea toute la nourriture. Les gens le regardaient espérant qu'il n'ait pas d'indigestion.
Il n'eut pas d'indigestion et il repartit car il fallait arriver au temple avant la tombée de la nuit. Un jeune page attendait Usui à la porte du temple, Usui lui demanda des nouvelles du moine principal. " Il souffre d'arthrite et de maux de dos, il est alité ". Avant d'aller rendre visite au moine, Usui alla dans sa chambre pour se rafraîchir et se changer. Ensuite il se rendit au chevet du moine. " Mon cher moine, je suis revenu. La méditation a réussi ". Le moine voulut avoir tous les détails et Usui posa ses mains sur le moine en lui racontant sa méditation. Le moine lui dit qu'il n'avait plus mal et qui pourrait dormir. " Je vais bien, vous dites que cela s'appelle Reiki ".
L'expérience Reiki
Pour la première fois depuis trois semaines, Usui dormit dans un lit. Le lendemain, après le petit déjeuner, il posa une question aux moines du temple : " je vais-je faire pour travailler avec le Reiki ? " Après de longues discussions, on décida que le mieux serait d'aller dans un des nombreux bidonvilles de la ville de Kyoto. Ces bidonvilles étaient l’endroit où il y avait le plus de misère et de maladies, la lèpre entre autres. Ils choisirent le plus grand des bidonvilles.
Usui partit habillé en moine en emmenant avec lui de sacs de légumes. Très vite d'un mendiant l'entourèrent. Il leur dit : " je voudrais être l'un d'entre vous et j'aimerais vivre ici ". On lui répondit : " nous avons un chef, si tu veux rester ici, nous devons le lui demander ". Le chef des mendiants arriva aussitôt et dit : " je comprends que tu veuilles vivre ici et devenir l'un d'entre nous, donne nous tes légumes, et il n'est pas nécessaire de porter des vêtements neufs ". Ils le déshabillèrent et trouvèrent sa bourse de monnaie et la prirent. Le docteur Usui se vêtit de ses vêtements initiatiques de mendiant. Le chef demanda à Usui ce qu'il était venu faire dans ce bidonville. " Vous me logez et vous me nourrissez, envoyez-moi les malades et je les guérirai ". Le chef trouva que c'était un bon échange et dit : " ici, il y a toutes sortes de maladies, y compris la tuberculose et la lèpre. Vous n'avez pas peur de toucher ? ". Il lui répondit qu'un guérisseur n'a pas peur de la maladie et lui promit de travailler du matin au soir.
Le lendemain matin, les malades étaient nombreux sur le repas de la porte du docteur. Il classait les malades en fonction de ses propres théories. Il pensait que la maladie avec une cause intérieure. Il pensait que chez les jeunes la cause serait traitée plus facilement. Il envoyait les personnes qu'il avait guéries au temple zen où on leur donnait un nouveau nom et du travail en ville. Il leur demandait de devenir des citoyens honnêtes et d'oublier le bidonville.
Un soir, après sept longues années de Reiki, alors qu'il se promenait dans le bidonville, il vit un visage qui lui semblait familier. C'était un des premiers mendiants qu'il avait guéri. Il dit : " je reviens au bidonville, il est plus facile de mendier que de travailler ". Ce fut le plus grand choc de la vie d’Usui, et il se mit à crier. La plupart de ces anciens patients revenaient au bidonville. Il se rendit compte qu'après toutes ces années passées à étudier et après toutes ces années passées dans le bidonville, il ne s'était occupé que de l'aspect physique du mal et non de l'aspect spirituel. " Les religions ont raison, le plan spirituel vient en premier lieu et le plan matériel en seconde position. Je me suis trompé, c'est de ma faute si des mendiants reviennent. Je ne leur ai pas enseigné la gratitude. Ils sont la partie ont l'habitude de recevoir mais qui n'ont pas l'habitude de donner. J'aimerais d'abord leur ouvrir la voie spirituelle et ensuite guérir le corps. Fini des mendiants. C'est de ma faute si ils sont revenus, j'aurais dû leur enseigner la gratitude ". Et il quitta le bidonville.
La croisade
Le docteur Usui se lança alors dans une véritable croisade pour aider les malheureux, les déprimés. Il voulait ouvrir leur cœur, purifier leur esprit et leur corps. À pied, il alla de temple en temple au Japon. Chaque fois il y donnait des conférences. C'est après une de ses conférences qu'il rencontra le docteur Chujiro Hayashi, un militaire retraité de quarante-cinq ans. Celui-ci resta avec Usui jusqu'à sa mort. Usui a dit que ce serait Hayashi qui continuerait son œuvre.
Invité- Invité
du temps...
tes sujets sont très intéressants à lire, merci.
la paix intérieure, c'est avant tout ce qu'il faut retrouver avant de la partager...?
la paix intérieure, c'est avant tout ce qu'il faut retrouver avant de la partager...?
Invité- Invité
Re: Histoire du Reiki partie 2 Sa redécouverte du Reïki dans le détail.
Quand tu es en paix avec toi même, tu peux pratiquer les principes Reiki...
Mais cela est loin d'être chose aisée au quotidien, nous sommes humains, nous sommes soumis à bien des tensions...
La paix intérieure, c'est quelque chose vers laquelle tu peux tendre, c'est rare de l'atteindre constamment.
Mais ce que tu es à l'intérieur, tu le reflètes à l'extérieur... et implicitement tu le fais passer aux autres.
C'est pour cela que parfois, tu es poussé vers certaines personnes qui t'apaisent, avec lesquelles spontanément tu crées un lien, avec lesquelles tu aimes parler.
Et c'est peut-être, très certainement même, parce que tu les as côtoyé déjà dans une autre vie. Mais cela est un autre sujet.
Mais cela est loin d'être chose aisée au quotidien, nous sommes humains, nous sommes soumis à bien des tensions...
La paix intérieure, c'est quelque chose vers laquelle tu peux tendre, c'est rare de l'atteindre constamment.
Mais ce que tu es à l'intérieur, tu le reflètes à l'extérieur... et implicitement tu le fais passer aux autres.
C'est pour cela que parfois, tu es poussé vers certaines personnes qui t'apaisent, avec lesquelles spontanément tu crées un lien, avec lesquelles tu aimes parler.
Et c'est peut-être, très certainement même, parce que tu les as côtoyé déjà dans une autre vie. Mais cela est un autre sujet.
Invité- Invité
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